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Tout ce qui a été posté par Phil
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Ah oui, c'est un peu plus... Si la voiture prend l'eau tous les jours (garée dehors, route fréquemment sous la pluie) il est urgent de faire quelque chose. Sinon, pas de problème. Mais un jour, il va falloir le refaire, et là c'est l'aventure. Quant à le remplacer par une peinture, les baguettes doivent être plus épaisses pour pouvoir coincer le skaï (non c'est pas du cuir, "vinyl" ça dit bien ce que ça veut dire) donc pas sûr que ça puisse se faire proprement. Curieusement, quand on achète une voiture cher, on hésite moins à faire des frais que si on l'a achetée bon marché. Mais "le prix s'oublie, la qualité reste"
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Tous à vos magnétoscopes, il doit me rester une ou deux VHS neuves sous cellophane
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Baaaaah c'était des jours où j'avais piscine Mais une gloire pareille, c'est autre chose que des histoires de boulons-rondelles hein
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J'imagine sans peine le nombre de c*nneries que tu as dû faire (et dont tu as dû te mordre les doigts et le reste) avant de mettre au point cette procédure hyper-léchée
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Quand c'est peint, on ne voit pas non plus la carrosserie et quand on s'en aperçoit (cloques) c'est que c'est déjà mort dessous. C'est clair que si tu comptes la garer dehors tous les jours, le toit vinyle n'est pas la solution idéale. Mais le toit, c'est ce qui pourrit en dernier sur une voiture : en la garant dehors, il y a plein d'autres choses qui vont te faire des soucis vite vite. Si elle est garée dans un garage, pourquoi le toit pourrirait-il ? Et même "si" ça pourrit, le plus pénible n'est pas de remettre un patch, mais de bien nettoyer la colle - apparemment c'est ce que tu veux faire, t'es pas un peu maso ?
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C'est un petit boîtier qui disjoncte avec la température, typiquement quand le circuit qu'ils protègent surchauffe par excès d'intensité (moteur bloqué ou induit HS). Quand ça refroidit, le contact se rétablit. De nos jours, quand il y en a encore, ils sont souvent enfichés dans le boîtier à fusibles, comme les relais. A l'époque, ça pouvait être n'importe où entre la batterie, l'interrupteur, le moteur et la masse, y compris pendouillant sous le tableau de bord. Mais en général dans le circuit qui mène au moteur qu'il protège . L'emplacement physique peut être (ou pas) indiqué dans les docs techniques : se coucher sus le faisceau pour trouver l'emplacement des composants, c'était le boulot de l'électricien payé trois sous de l'heure, pas de l'ingénieur qui faisait les voitures... De rien, j'aime aider
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Maintenant, ils sont souvent enfichés dans le boîtier à fusibles, avec les relais. A l'époque, ça pouvait être n'importe où entre la batterie, l'interrupteur, le moteur et la masse, y compris pendouillant sous le tableau de bord. Mais en général dans le circuit qui mène au moteur qu'ils protègent . L'emplacement peut être (ou pas) indiqué dans les docs techniques. De rien, j'aime aider
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... trouvé dans le coffre de la Ghia ?
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Tout à fait... Mais laissons notre ami Deville72 utiliser les timbres fiscaux pour envoyer son courrier, appeler les agents du fisc "monsieur l'agent", croire que les évadés fiscaux ont eu besoin d'une lime pour couper leurs barreaux, qu'il s'est fait avoir quand il touche un avoir fiscal ((c)Gotlib) et que la taxe parafiscale ne concerne que les parachutistes... et se lamenter à chaque quitus fiscal... interruptus . [Ceci était un message nécessitant l'attention de la moitié du forum - au moins ]
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Le moteur de capote (comme ceux de vitres) n'est en général pas protégé par un fusible, mais par un disjoncteur thermique (circuit breaker).
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BUICK RIVIERA 1968 (Via American Cars and Parts)
Phil a répondu au sujet de HAGUYGOU dans Années '60
Franchement, deux bouts de fer plat de 5x40, une masse et des biscotos pour les plier, une bonne perceuse (ou un chalumeau oxhydrique ) pour faire les trous, pas besoin d'une fraiseuse numérique et de la moitié du forum... -
Beaucoup d'US de l'époque n'ont pas de robinet de chauffage : l'eau circule dans le radiateur de chauffage été comme hiver, le chauffage est donné par le passage (ou pas) d'air dans ledit radiateur vers l'habitacle. Les tirettes de chauffage commandent uniquement des volets d'air. Vérifie d'abord si tu n'as pas un volet qui reste ouvert (câble de commande décroché ou mal réglé). Ces voitures étaient vendues comme ça même en Arizona ou au Texas, si ça chauffait l'habitacle quand les volets sont fermés ça se serait remarqué. Pour ton montage artisanal, vérifie que ce modèle de vanne supporte le glycol à près de 100°C. 100% métallique comme ça a l'air, il ne va pas falloir chercher à l'ouvrir ou à le fermer à chaud... Et il faut conserver un bypass pour éviter les surpressions dans les durites quand tout est fermé (vanne et thermostat) et ne pas forcer sur la pompe (courroie, poulie).
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RIen de mirobolant, mais quelques petits pêts de carrosserie à l'autre bout de la voiture qui m'énervaient depuis un moment .
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Comme je l'ai écrit, je n'étais pas là, c'est tonton TBird qui avait fait le déplacement. Ils ont même vidé le coffre (plein de merdouilles, j'avais pas pensé à ça) pour y mettre un technicien son : Et puis, les techniciens toujours, avec leurs éclairages et leurs micros aux fixations-miracles-qui-ne-laissent-pas-de-traces, et mon Q c'est du poulet : Là, soit on s'énerve comme tu dis et on se fâche avec tout le monde en passant pour le chi*ur de service, soit on garde son calme et son sourire parce qu'on sait que la maison de production est bien assurée, et on leur envoie la facture (bien-bien salée) du peintre qui a tout remis à neuf avec quelques bonus - ça leur a coûté chaud sur ce coup .
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BUICK RIVIERA 1968 (Via American Cars and Parts)
Phil a répondu au sujet de HAGUYGOU dans Années '60
Ce genre de patte est souvent présente sur les moteurs US, mais pas tous. S'il n'y en a pas, accroche des sangles camion (ou celles pour lever les sacs de sable d'1m cube par une grue...), et/ou des chaînes autour des collecteurs d'échappement, en faisant attention à ne pas interférer avec la tête d'allumeur ou autre pièce fragile. -
Si ce ne sont que des micro-piqûres, laine d'acier triple 0 (je ne sais pas comment ça s'appelle chez vous), produit pour le chrome (chez nous : Belgom, Miror, Ouator, Elféchrome etc., chercher sur le forum avec ces mots on a dû déjà en parler) et huile de coude. Les points de rouille reviendront avec le temps, on peut protéger par une couche de vernis (clear coat, en choisir un qui ne jaunira pas aux UV). S'il y a de la vraie rouille, il faut déchromer, sabler, polir, rechromer... $$$, autant trouver directement des jantes en meilleur état.
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No news ?
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Bon retour ici Belle bête, un voisin a la même (Le Sabre 75 convertible), en noir avec un 350. Par curiosité, ça se touche à combien de votre côté de la Mare ?
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Vu l'abondance d'offre en lignes d'échappement complètes aux US et les prix dérisoires (même avec port et taxes), pourquoi t'emm*rder à faire une ligne toi-même ? Il n'y a pas que les dimensions, il y a tous les coudes, leurs longueurs, les angles qu'ils font et leur direction. Le plus simple c'est de faire la ligne directement sous le véhicule que sur plans. D'ailleurs, pourquoi demander ici plutôt que prendre les mesures directement sur ta ligne ? Dernière question, ta ligne (ou celle que tu veux faire) est simple ou double ? Sur une ligne double, les deux lignes peuvent être totalement indépendantes, ou communiquer "en H" ou "en X", il y a plusieurs écoles, Gilles doit connaître ça par cœur .
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le manuel du conducteur "de base" ne comprend pas les instructions spécifiques aux cabriolets .
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Je ne sais plus dans quel sujet quelqu'un a posté récemment des images du genre ... mais ça va bien ici aussi, sur le préjugé : "les Américaines c'est énoooooorme " . Aujourd'hui à Palavas - je pense qu'ils l'ont fait exprès
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A l'époque (1877-78) SF était une ville en boom perpétuel depuis - l'indépendance de la Californie et son rattachement aux US en 1846-48 - la ruée vers l'or de 1848-49 (la pire affaire du Mexique, qui venait d'abandonner le terrain) - le développement rapide du port - l'achèvement du chemin de fer transcontinental par l'Union Pacific en 1869 Les nouvelles fortunes (patrons des chemins de fer, vendeurs de matériel de prospection, patrons de bordels...) décident dans les années 1870 de construire des résidences luxueuses sur Nob Hill (actuellement le quartier le plus chic de SF), avec, tant qu'on y est, les lignes de cable car pour s'y faire ravitailler (les chevaux peinaient à monter ces collines). C'est depuis une de ces résidences, alors en construction, que le panorama a été fait. On voit d'ailleurs les rails du cable car sur California Street (la rue qui descend vers le port). Il montrait ce qui n'était alors qu'un faubourg éloigné du centre, avec donc des baraquements partout autour - ceux qui aideront à transformer le séisme de 1906 en incendie meurtrier qui détruira presque tout le centre ville. Le photographe Mark Klett, avec qui je corresponds, a réalisé en 1990 le "même" panorama, en trichant un peu puisque le point de vue original est maintenant au milieu de la cage d'ascenseur d'un grand hôtel (le Mark Hopkins, construit sur les ruines de la résidence du même nom et site de tournage de "Vertigo" d'Hitchcock). Voir sur le site de Mark à la rubrique "books", les livres "One city, two visions" et "After the Ruins", je te les montrerai quand tu repasseras . Ce n'est qu'un problème de maths Là aussi, je te montrerai quelques trucs si tu veux. D'autres appareils argentiques, presque un siècle plus tard, utilisaient encore ce principe, à commencer par le Widelux : Avec les possibilités de retouche et d'assemblage en numérique, c'est devenu totalement obsolète . La photo date des années 1820, elle s'est répandue dans les années 1840-50, bien avant la commercialisation de films souples par Kodak à la fin du siècle. Les premiers panoramas photographiques datent de la même époque : ils copiaient les gravures panoramiques, comme les portraits photo copiaient les portraits peints - et les premières voitures copiaient les carrioles et les fiacres . Pas vraiment une collection, j'ai juste gardé quelques trucs. Les vieux appareils photo, à part les Leica et quelques autres, ça ne vaut pas bien cher depuis la fin de l'argentique, et les "boîtes" genre Kodak Brownie encore moins. Humm si ça t'intéresse, voir ici Mes sites favoris pour ça : http://oldcaradvertising.com/ et http://www.lov2xlr8.no/broch1.html
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Amateur de photo autant que de vieilles voitures anciennes (et donc de photos de vieilles voitures ), je m'intéresse depuis un bon moment à la technique de la photo panoramique . Rendu facile d'accès par le numérique (beaucoup de smartphones ont un mode dédié), le genre est pratiqué depuis toujours, puisque les gravures panoramiques étaient très prisées à la fin du 18ème siècle, avant même l'apparition de la photographie. Au début (19ème siècle), c'était l'enfer . Transporter de lourdes plaques de verres et des litres de produits chimiques, prendre la douzaine de vues nécessaires avec pour chacune plusieurs minutes de pose et des heures de développement, on en avait pour la journée. Un bon exemple : les panoramas à 360° de San Francisco par l'Anglais Muybridge dans les années 1870, ici en très grand format (cliquer): Une expo itinérante (San Francisco, Paris, Montréal) lui a été consacrée dans les années 1990, j'ai eu la chance de tomber sur un catalogue original de l'expo Vers 1905, la révolution a été la commercialisation (en fait, le rachat) par Kodak d'un appareil panoramique grand format : le Cirkut. Rien à voir avec le Brownie qui avait fait la fortune de la marque : ça restait un lourd appareil sur trépied, qui valait dans les 300$, plusieurs mois de salaire d'un ouvrier. Il nécessitait toujours une longue préparation du décor, mais moins de manipulations "chimiques", puisqu'il utilisait des rouleaux de film de 5 à16 pouces (13 à 40 cm) de large, donnant des négatifs de 2 à 6 pieds (0,60 à 1,80m) de long, tirables par simple contact après développement chez Kodak. Et surtout, les manips "géométriques" (alignement des parallaxes entre deux images par rotation de l'objectif autour du point nodal) étaient éliminées par la rotation de l'appareil combinée au défilement du film. Vidéo d'explication (entre 2:30 et 3:10) Entre les deux guerres mondiales, il a permis de prendre des dizaines de milliers d'images : équipes sportives, ateliers d'entreprises, conventions politiques, défilés militaires, concours de miss et autres assemblées du Ku Klux Klan Exemples : Et évidemment des voitures et camions Une concession Chevrolet La première Cadillac 4 cylindres en 1912 Un site intéressant (en anglais) : ici Un blog (en français) : là Et ZE bouquin qui va bien : America By The Yard (d'où le titre du sujet) 1 yard = 90 cm environ, la longueur typique des négatifs du bazar. Si ça vous branche, il vaut largement son prix : 200 pages en très grand format (25 x 40 environ), avec surtout beaucoup de dépliants sur 3 ou 4 pages, avec une longueur de plus d'un mètre ("by the yard", on vous dit ). Voilà, si vous avez tout lu jusqu'ici, bravo