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Je ne sais pas si cela fera l'auto la mieux alignée, mais j'y travaille.
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Merci, la chance il va en falloir une bonne dose.
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Jette un petit coup d’œil à la page 1 et 41 de ce post et tu comprendras pourquoi les dimensions sont bonnes Çà c'est la partie impressionnante, mais les difficultés sont pour plus tard. A vrai dire il n'y a pas eu d'autre fois, donc j'improvise et redouble de prudence. Car j'ai déjà vu des éléments soudés neufs posés sur des autos tordus. Ce qui donne un résultat catastrophique et irréparable sans tout découper. Donc je me suis dit qu'en immobilisant les parties qui sont aux bonnes dimensions et en travaillant de niveaux. Cela limiterait les risques d'avoir une saucisse une fois terminé. Le faux châssis est boulonné à la caisse et les ferrailles d'immobilisation sont soudé au châssis , peu de risque que cela bouge. Toutes les mesures étant prisent avant découpe, je suis tranquille . Pas de question à se poser pendant les ajustements. Car ce n'est pas plug and play, il reste des réparations à faire sur les parties restantes. C'est mon côté mécanicien qui ressort Plaisanterie mise à part, une voiture au dimensions aléatoire ne me dit rien. 1 ou 2 mm ne serait pas catastrophique et à l'origine la tolérance devait être plus large, vu ce que je constate par endroit. Là j'ai la chance d'arriver à faire bien, donc j'essaye de m'y tenir.
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Bon le moment tant attendu est arrivé. ( couper l'aile arrière gauche). Avant cela il faut prendre quelques précautions. Comme mettre de niveau la caisse . Les premiers points de référence sont les supports avant , donc je les aligne avec le laser ( trais rouge sur la photos). Je fabrique de quoi immobiliser les différents éléments de carrosserie, afin d'être sur que ce qui ne doit pas bouger ne bouge pas. Ce pied est réglable pour me permettre de mettre parfaitement de niveau l’arrière de la caisse. Voilà c'est de niveau , puis j'ai soudé l'ensemble des renforts et le tout au faux châssis. Je relève toute les mesures, profondeurs gauche. 144 cm sur l'arrête. Profondeur côté droit ( la référence) 144 cm sur l'arrête. Puis hauteur gauche. 150 cm Hauteur côté droit. 150 cm, pour l'instant c'est parfait. Longueur des ailes. Un premier repère à 2 mètres qui me servira par la suite de référence. Reste 52.7 cm ( c'est dans cette section que je procéderais à la découpe) Même chose côté droit pour être sur que les ailes sont identiques. L'aile gauche. 252.7 cm L'aile droite 252.7 cm. Maintenant les hauteurs. 272.1 cm a gauche. Hauteur droite 272.1 cm sera la hauteur de référence. Après traçage suite aux repères mesurés sur le patch au préalable. je me lance dans la découpe à la disqueuse. Mais ce n'est pas la découpe définitive. ( j'ai conservé 2 cm de marge ) Putin c'est fait et ...j'ai plus le choix. Ce trou béant doit être refermé. Rien ne bouge pas de relâchement intempestif des tôles. Pour l'instant tout baigne. Il me reste plus qu'a finir de dépointer les morceaux que je ne garderais pas. Les pièces pour réparer le plancher sont déjà prête. Mais je ne les poserais pas avant d'avoir reconstitué l'aile. Il me faut aussi conserver ce renfort qui sert de raccord à la gouttière de la malle. L'envers du décor. C'est quand même plus net .
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Je n'ai certainement pas tout suivi, mais que fait ce relais pour " Ford mustang" dans ce compartiment moteur ?
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Et dire qu'il y a en a ici qui me prenne pour un fou . Franchement là tu part de loin, respect et chapeau bas monsieur
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Non c'est pire que ça , mais chut je ne t'ai rien dit. Plus sérieusement, si tu es prêt à faire une peinture de pavillon et sa préparation. Exactement comme si tu restaurais cette voiture. Cela ne te poseras pas plus de problème. Oui tu va rencontrer de la rouille qui faudra traiter, démonter les baguettes pour retirer le vinyle qui passe dessous, virer une colle de merde qui à bien cuit au soleil. . Et faire un peu de mastic aux raccords des tôles. Un bon apprêt par dessus et hop peinture.
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Et voilà , il faut encore attendre pfffff ..........
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Merci , j'espères bien J'ai bien regardé avant de me lancer, effectivement entre le coût et l'état des pièces trouvées ce n'était pas terrible. Donc à regret j'ai réparé celui-ci. Merci. Cela aurait pu , il faisait partie des restes du garage Fiat de mon paternel. D’où l’origine de ce pied à coulisse. Il est en pouce et en mm, un outil fort utile, jamais en panne. Et ce simple tableau au dos évite d’aller fouiller dans la doc pour faire la conversion des dimensions de visserie en fraction de pouce. De plus comme cité plus haut, il donne également en mm le diamètre du bon forêt à prendre, pour par la suite tarauder en pouce. Meilleur ouvrier de France certainement pas, du village peut-être. Quoique, il y a pas mal de fou par chez nous. Merci. Pas vraiment comme un neuf, mais il a retrouvé sa rigidité et il a repris des dimensions normales. Il me reste pour plus tard des petites retouches à faire sur le serti proche de la charnière. Elles seront certainement réalisées au « Terokal 5010 TR » qui remplace maintenant l’étain en carrosserie. Pour l’insert, c’est plus de la mécanique que de la carrosserie et là je sais faire. Dis-toi quand quelqu’un à une collection de taraud 5/16 UNF 24 dans ses tiroirs. C’est qu’il n’en est pas à ses premiers essais en la matière. Pas facile à expliquer, mais le sertie fait partie du bandeau. A la plieuse je fais un pli à 90° sur toute la longueur de la pièce correspondant à cette bande de tôle de deux centimètres de hauteur que j’appelle le serti. Puis je rabats au maillet cette bande de tôle, en prenant soin d’intercaler un autre tôle de 1.5 mm ( pièce n°2 ) entre le serti et le bandeau (pièce n°1), de manière à garder l’épaisseur nécessaire pour loger la doublure de la malle. Tout ceci pour me faciliter la tâche par la suite, vu que le serti sera déjà former. Une fois en place, Il ne reste plus qu’à l’écraser entre le tas et le marteau afin de le resserrer. Reviens au post du 18 mars, tu verras en image la méthode employé. Tu crois pas si bien dire je vais pouvoir passer à la suite . Et même si le stress va être au max pour cette nouvelle opération . je suis impatient d'attaquer.
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Dernier morceau du bandeau en place. Le serti est également terminé. Etant dessus depuis janvier , cette vue me fait de plus en plus plaisirs. Je vais fixer définitivement le serti à la doublure par bouchonnage. Donc je perce le serti avec un forêt à dépointer, sur toute la longueur. Puis bouchonnage. Maintenant une dernière bricole, un des inserts de la fixation des charnières de la malle est foiré. Donc là aussi je bouchonne le trou. Puis je meule le surplus est perce au bon diamètre. Comment je connais le bon diamètre ? Grace à mon vieux pied à coulisse. 7.94 mm = 5/16 donc perçage de 6.5 mm. Donc perçage final à 6.5 mm. Puis un taraud de 5/16 UNF 24 pour pouvoir remettre une vis d'origine. Astuce pour ne pas partir de travers , comparer l'inclinaison du taraud avec un cube ou un pièces rectangulaire à proximité. Ni vu ni connu , c'est définitif est comme d'origine . Les angles sont aussi terminés Il reste à percer l'emplacement des fixations de la baguette. Mais avant il me faut retrouver ces attaches neuves .( pas de repro disponible) Ce couvercle de malle m'aura bien prit la tête et donc c'est avec joie que je vais pouvoir passer à la suite.
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Note plutôt Camaro 67 , comme celle de Gilles
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Par contre de mémoire, la neuve est à régler avec une petite clé alen introduite dans l'orifice de la dépression
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Une 67 par exemple C'est mort le moteur ça ne suffit pas. Tu es bon pour tomber l'aile, le passage de roue et donc le capot parce qu'il ne tient plus. Le pare-choc parce que le support est prit dans l'aile. L'entourage de phare, la batterie est son support....j'arrête là.
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De toutes les manières ce trou ne contribue pas aux fuites d'huile. Vu que l'étanchéité se fait sur le yoke et non pas sur l'arbre.
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Comme tu dis et même "tarder" est un peu juste. Merci, j’essaye de faire au mieux et de vous communiquer le plus possible d’infos sur les difficultés rencontrées et les solutions employées. Même si ce ne sont pas forcément les meilleures. Elles restent à la portée d’un amateur. Je me suis fixé au mieux 6 ans pour restaurer cette voiture. (3 ans de carrosserie , 2 ans de mécanique avec châssis et 1 an de remontage avec la sellerie.) Sur les 3 ans de carrosserie j’avais tablé sur 1 an pour le soubassement de la cellule, 1 an sur le plancher de malle et l’aile , 1 an sur les baies et le pavillon.) Ta question n’est absolument pas bête, loin de là. Dans un chantier aussi long, il est préférable de se fixer des objectifs et de préférence réalisables. Sachant que les imprévus et autres galères sont souvent déterminant pour respecter ou pas ces délais. Si j’estime que la restauration a réellement commencé en septembre 2015 sur cette auto. Date à laquelle j’ai enfin pu repartir dans l’autre sens. J’entends par là le début de la reconstruction. Soit déjà 2 ans et 9 mois !!! Dans 3 mois l'objectif est mort , sachant qu'il y a le Mans Classic en juillet qui me prend plusieurs jours avant et après. Jusqu’à la fin de l’année dernière j'étais presque dans les clous. Mais 4 mois sur le couvercle de malle et un petit souci de santé l'été dernier, ça ce n’était pas prévu. Moralité l’aile ARG n’est toujours pas terminée…et le retard commence à se voir. Quand je dis qu’il est préférable de se fixer des dates de réalisation. C’est en fait plus motivant en soi. Du moins pour moi ça marche. Parfois cela oblige à ce mettre un coup de fouet pour se lever un dimanche matin où franchement là tu serais bien resté au chaud. Plutôt que d’aller te les peler dans un atelier à 3°. Dépasser les délais n’a rien de grave. Car hormis ta petite famille qui trouve que cela dure toujours trop. Personne ne te réclamera de pénalité. Mais attention, plus tu allonges cette restauration et plus les risques d’abandon pour force majeure te menacent. Cela peut être d’ordre financier, familial, professionnel, médical, problème de local, incendie, inondation……..Bref, plus vite cela est terminé mieux c’est. Car les restaurations non abouties et dont les propriétaires rêvent encore, sont nombreuses.
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C'est même incroyable comme choix de caisse. Car même à l'époque il y avait mieux. Et que personne ne se penche sur les trois lettres de cette calandre pendant toutes ces années est encore plus fou. Pour le pont, pas de souci au sablage si tu le protèges bien. Ou alors tu le vides de tout les organes, puis Karcher à eau chaude. Et sablage complet quand il est sec. Car le sable colle à l'huile comme les morpions aux co... Bon courage pour la suite, le projet est plus que sympa.
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Merci No problem les voici toutes fraîches Déjà beaucoup de taf pour en arriver là. Vivement que ce morceau soit fini. La vue que je préfère, le pavillon semble avoir été rabaissé . Et cela donne des proportions délirante à cette auto. Merci , content que cela plaise . Ma patience a aussi des limites, en ce moment je n'y ai pas gout . Quatre mois que je suis sur ce couvercle de malle, il me sort par les yeux. Mais voilà je n'ai pas le choix , il faut qu'il soit en état pour pouvoir continuer ce chantier donc je me fais violence pour le terminer. Même si je fais deux trois truc en parallèle pour détendre l'atmosphère. Et oui tout ce travail disparaîtra sous la peinture , mais c'est le but. Car si l'on arrive pas à deviner quelles sont les parties réparées et si seulement elles ont été réparée. Alors j'aurais atteint mon but Car un travail de carrosserie réussi est un travail invisible qui ne laisse pas de trace. Mais il y aura toujours les dizaines de pages de ce post sur le forum de DC, qui décriront les travaux qu'a subit cette caisse. D'ailleurs après rerereredépose du couvercle de malle, voici la suite. ( en haut à droite). Réparation du dernier morceau de doublure. Pour cela enlèvement des serties. Découpe pour remplacement. Présentation de l'ébauche du patch. Une partie est en place , je ne suis pas arriver à le réaliser d'une seule pièce. Bien sur par la suite le morceau de bandeau derrière le patch sera remplacé. C'est la raison pour laquelle je le laisse tel quel. La doublure est entièrement reconstruite. Une couche de primaire. La doublure est terminée Elle a nettement meilleure allure. Deux perçage non d'origine ont été supprimés au passage. Plus que ce morceau et je suis au bout.
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Salut, content de pouvoir te lire. Je sais ce que c'est de courir après plusieurs lièvre à la fois. Le temps n'étant pas élastique, il faut savoir faire les bon choix. Car quand on aime bricoler, les projets ne manquent pas.
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Pas de chance , mais sur un bloc à soupapes latérales comme le tien , généralement il y a peut de surprise. Cela ressemble à un simple défaut d'étanchéité. Souvent le joint de culasse est une simple feuille de cuivre, donc il est important d'avoir de belles surfaces. Et tu peux même appliquer en plus une colle pour améliorer l'étanchéité.
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Alors que devient cette Pontiac 53 ?
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Cet intérieur de malle a fière allure et la corrosion n'est pas prête de revenir. bravo pour tout ce travail . Car ces derniers temps tu 'as pas chaumé.
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Sur le côté droit du couvercle de malle, il y avait deux trous. ( Certainement pour fixer le logo du concessionnaire )!!! Donc rebouchage à la soudure puis redressage de par dessous. L'autre trou sera fait quand j'y aurais accès, après avoir ouvert le morceau de doublure restant à remplacer. Puis comme les autres fois, le bandeau est découpé. Traitement. Mise en place et déformation... L' arrête est partie vers l'intérieur au niveau de l'empreinte d'usine. N'ayant pas accès derrière, j'emplois une méthode un peu barbare . Cela consiste à souder une plaque d'acier et à tirer dessus avec une masse à inertie. J'ai en fait vissé celle du tire clous à une pince étau. Voilà c'est fait. Maintenant c'est au tour de la jupe arrière et notamment de l'arrête se situant en dessous du couvercle de malle. Car pour l'instant c'est les montagnes russe. La tôle de dessus faisant office de logement pour le joint y passera plus tard. Voilà plus exactement à quoi cela ressemble. Même procédé que plus haut. C'est fait et c'est mieux. Un autre endroit qui en avait besoin. Cette vue me plait d'avantage. Ça ne représente pas grand travail, mais cela fait partie des finitions qui font la différence.
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Oui une vue de profil m'aurait permis d'avoir une idée en 3D. Ceci dit, on voit bien que déjà à cette époque les ingénieurs avaient pensé à l'option double airbags à l'avant. Mais visiblement ils ne savait pas ou les placer...
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Continu comme ça et tu vas devoir inviter tout le monde , moi je te le dis Bravo car ce n'est vraiment pas la joie d'aller souder un morceau aussi gros la dessous.
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Pas de souci de ce côté là, tout est neuf. Pour le para AV , d'abord alignement avec l'arrière. Le réglage final sera de 2 mm par côté pour atteindre 4 mm au total. Au lieu des 6.35 mm préconisé. Je pense que par la suite il faudra descendre encore de 2 mm. A gauche. A droite. Contrôle du point zéro. Bien sur tout cela frein et direction bloquée. Contrôle de l'alignement du train AR. Dé-voilage AR et début des mesures. Réglage du carrossage ARG à 1°. ARD Idem c'est nickel. Para ARG à un fort 0.5 mm . Pour un total de 1 mm et un poils de plus. Idem à droite. Voilà c'est terminé, le matos et rangé pour une prochaine auto. Y a pas à dire il savait faire du beau matériel à l'époque. Pour l'anecdote j'ai sauvé ces jouets de la benne pour 100 € il y a 5 ans.