CAN-AM

En fait tu n'imagines même pas à quel point cette gouttière est importante. . Elle maintient deux baguettes inox, dont une qui vient épouser la gouttière afin de tenir l'autre et cela sans vis ou agrafe. La grosse difficulté des restaurateurs d'aujourd'hui, c'est qu'en déposant une couche d'apprêt , une couche de base, plus une couche de vernis dessus .Cela rend impossible de remonter cette baguette. Car les produits sont maintenant plus épais qu'a l'époque. C'est pour dire a quel point la marge d'erreur n'est pas énorme. Pour les vélos et les barres de toit, pas de souci tous rentre dans la malle

Le montant est traité au Ferose. J'ai attaqué la reproduction de la gouttière. En rabattant la tôle, puis en découpant le surplus. Découpe délicate pour afin de ne pas abîmer celle de dessous. Passage à la moulureuse pour faire la marche et premier pliage.. Ne pouvant pas utiliser la plieuse, car pas suffisamment de place . J'utilise une vielle méthode ( un burin plat ). Mais c'est extrêmement long. Au bout d'un certain.......................... temps. Le deuxième pli prend forme. Je suis pas loin de la vérité, mais ce n'est pas encore ça. Même si c'est le premier essais, Il reste pas grand chose pour obtenir quelques chose de plus proche. Mais c'est vraiment difficile à réaliser. J'ai beaucoup de mal à réaliser l'angle droit saillant. La il s'agit de seulement 50 cm, mais il en reste encore 150 à faire.

Oui, sur la fraise il y a un épaulement . De ce fait il est facile de juger la profondeur de pénétration. De plus la pointe qui est au centre, est en appuis sur un ressort qu'il faut comprimer pour fraiser. Résultat quand la première tôle est traversée, la pointe repousse la deuxième épaisseur et permet de voir que le point c'est détaché.

Heureusement qu'il y a les GM pour taquiner les FOMOCO . D’ailleur pour en revenir au sujet de départ, après le 5.3l litres Chevy c'est un Ford 7 litres qui à prit le relais. Car en compétition ce big bloc avait une excellente réputation.

Celle-ci reconnaissable à son étrange capot, est une Grifo IR9 Can-Am d'un Cylindrée de 7 litres, belle bête !

Existe en roadster moteur arrière ( 3 exemplaires officiel)

Cela ne m'étonne pas venant d'une d'un possesseur de Camaro 67. Vu que le 327 ci "small journal" de ces Camaro sert encore de base pour faire courir ces autos. Même si à mon avis le 302 aurait été plus musical dans cette auto, le choix est resté sur le 327 pour essayer de battre les 250 GTO en vitesse de pointe (Proche des 285 kmh en 1963) L''histoire en a décidé autrement, même avec 2.3 litres de cylindrée en plus elles n'y sont pas arrivées. Pour l'histoire c'est aussi Bizzarrini qui avait dessiné cette rivale (la Ferrari 250 GTO). Ho misère, et en plus tu as une Ford. Je suis vraiment triste pour toi ...........

Juste pour l’anecdote, vu que le moteur est en position centrale avant pour les raisons que nous connaissons et le fait d'avoir choisi Chevrolet. Cela a obligé l'ingénieur à faire une trappe sur la planche de bord au ras de pare-brise, pour pouvoir régler l'avance ou simplement pour enlever la tête d'allumeur.

Effectivement l'acide phosphorique ne craint pas, si l'on n'oubli pas les pièces dedans et que l'on rince derrière. Diluer il peut même servir a décaper un circuit de refroidissement de voiture ancienne. Il y a quelques années j'avais traité moteur tournant un bloc de Delahaye avant de l'ouvrir ( sur les conseils de la société Restom)

Quel acide ?

Juste pour les yeux et les oreilles. Un small bloc Chevrolet Corvette 1963 revisité par les Ritals avec 4 Weber DCOE et une boite méca. Le tout sur un châssis enveloppé dans une carrosserie alu Italienne. https://petrolicious.com/films/iso-grifo-a3-c-recreating-the-riveted-race-car

Le sablage , rien de tel pour enlever la rouille. Malheureusement le ZEBRACIER ne l’empêchera pas de revenir. Un zingage ou un cadmiage l'aurait davantage retardé. Il y a aussi une méthode un peu barbare qui fonctionne pas trop mal. Cela consiste a monter les pièces en température environ 100 ° en même temps faire bouillir de l'huile de vidange. Puis tremper la pièce dans l'huile en ébullition. Attendre 5 minutes, ressortir la pièce et enflammer immédiatement l'huile qui se trouve sur la pièces a l'aide d'un bec a gaz. Et laisser ainsi jusqu’à extinction et refroidissement. Cela laisse un dépôt noir incrusté dans l'acier et relativement protecteur contre la corrosion. Ps : Les enfants ne reproduisaient pas ceci chez vous sans l'accord de vos parents. Je décline toutes responsabilités en cas d'incendie.

Perso, je te dirais que oui c'est mieux et en plus tu peux attaquer la tôle même si tu n'es pas bien perpendiculaire à celle-ci. Au boulot j'ai essayé de faire adopter ces fraises à nos carrossiers, résultat échec total !!! Pour te donner une idée un forêt à dépointer de 8 mm tarif et qualité pro coûte 17 € ht et n'est pas affûtable. Un kit de 10 fraises 1 support et 2 pointes , coûte 40 € ht et les fraises sont utilisable des deux côtés. Pour infos : les trous (69) perforés dans la grande traverse arrière, qui de plus faisait 1.5 mm d'épaisseur . Ont tous été fait à la perceuse à colonne avec la même fraise qui vient de dépointer le montant.

J'utilise ce modèle , les forêts à dépointer étaient beaucoup moins endurant . Ce modèle est très courant, tu en trouveras un peu partout ( Frost, Amazone, Ebay ....). J'emplois surtout le 8 mm . Par la suite les fraises se changent et sont utilisables des deux côtés.

J'ai la semaine pour y réfléchir, pour l'instant je penche pour la réparation de ces pièces. Mais bon , plus le choix pour reculer. Si une épave GM de 59 ou 60 pouvait traîner par là, cela ferait mon bonheur.

Pffffffffff mais non, dans l'aligot c'est de la tome , l'étain c'est pour emballer le Roquefort.

C'est exactement cela. Par chance seul ce côté est comme ça. La gouttière n'était plus à sa place tellement la rouille avait fait gonfler l’ensemble. L'autre coté a besoin de retouche, mais on est loin de l’état de celui-ci. Pour un traitement a cœur des parties non accessible, j'ai prévu de les imbiber de Férose convertisseur et phosphatant. De plus le tourne broche me donnera l'avantage pour garder la coque dans la meilleure position, le temps que cela fasse effet.

Essai de l'équerre... c'est OK, je la mettrais aux bonnes dimensions par la suite. Pour l'instant je ne peux pas la mettre en place, vu qu'elle chevauche une partie encore endommagée. Néanmoins je l'ai percé en bout, avec un forêt à dépointer pour garder un repère fiable . De plus ce perçage deviendra un point de bouchonnage. Voulant poursuivre la réparation de la plage arrière, je me suis rendu a l'évidence que je ne pourrais pas continuer sans démolir le montant de la lunette arrière. Car il y a trois pièces a refaire et qu'elles sont les une sur les autres. Le montant étant dessous, il me faut commencer par lui. Comme toujours repérage avant découpe. Parmi tout ces trous il y en a un qui est normal. Donc un repère pour plus tard. Dé-pointage et découpe du cancer. Dé-pointage du montant, mais avant prise des dimensions. Vu que c'est lui qui maintien la lunette arrière, il vaut mieux le remettre parfaitement à sa place. Et là, la misère pique les yeux. En haut ce n'est finalement pas si dramatique, malgré un enchevêtrement de tôle pas évident à reproduire. Heureusement les restes du montant sont très épais ( deux épaisseurs de 3 mm ) Ce que l'on voit en dentelle le long du montant . C'est les restes de la tôles qui sert de gouttière. Décapage pour préparer le traitement anticorrosion par la suite. Au pied du montant deux tôles également a refaire . Des formes pas facile à refaire. J'hésite encore sur la méthode à employer. Le but étant de les remettre ici. J'ai également passé vite fait le montant à la sableuse. Il y a des formes bien casse tête a refaire sur la pointe de haut. Donc refabrication ou réparation , voilà le dilemme. Quand ces trois pièces seront terminées, je serais vraiment soulagé.

Ce type de prise d'air possède un ou deux filtres rond standard. Par contre c'est de l'alu de bonne qualité et très épais. L'inconvénient de ce type de prise d'air c'est son mode de fixation. Une tôle adaptable à divers carbu, donc à modifier en trouvant une solution avec des compromis.

Première ébauche, le bossage est fait. La découpe finale est bonne, donc je peux passer au soudage. Repose du gabarit, vérification Ok , perçage pour la fixation de la baguette. Il reste des petites déformations sur la plage le long de l'arrête. C'est bon pour la plage, jusque là tout se présente bien. Une couche de primaire et je peux continuer.

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Ce châssis a l'air vraiment solide. Belle pièce La coque rend bien et les proportions semblent homogène.

Je suis étonné que dans ton magnifique pays, Il y a pas de décret qui interdit le stockage de VHU ( Véhicule hors d'usage) dehors à la vue des passants ? Surtout quand il ne sont pas sur des aires de rétention digne de ce nom. Ici, même pour un professionnel le nombre de véhicule VHU acceptable n'est pas très important. S'il n'est pas "casseur " Cela pourrait être un argument pour faire fondre ton glaçon qui risquerait une amende, dite écologique .

Les années 50' ....voilà un bon choix Et un GM alors là, c'est encore mieux. Bienvenue ici