CAN-AM

En fait les vapeurs sont pire que l'essence . C'est une opération qui se pratiquait assez souvent dans les ateliers de mon paternel. Laisser ventiler le réservoir ne suffit pas ( un collègue en à fait les frais sans gravité avec un simple tire clou. Mais le réservoir a fini en forme hamburger) Dans la pratique , tu vides le réservoir . Tu le rinces à l'eau. Et tu mets un tube d'air comprimer à l’intérieur en laissant s'échapper suffisamment d'air pour ne pas gêner la soudure. A partir de là tu peux le souder sans risque

Toi tu crains pas . Tu soudes avec une flamme un réservoir d'essence vide !!! Sans l'avoir remplit d'eau ou en laissant circuler de l'air comprimé à l’intérieur. C'est certainement la chance du débutant qui t'a sauvé d'une épilation éclair des sourcils.

Bien souvent c'est de l'étain, qui était posé en usine. Pour rattraper les gros défauts. C'est vrai , mais ai-je le choix ? Tu y mets le petit doigt, la main, le bras...Et tu finis par te faire prendre au jeu en entier Merci, parfois effectivement je vais un peu loin dans le souci du détail. Cette dernière étape est quelque peu impressionnante. Mais elle était incontournable pour assurer la suite. Si les dimensions ne sont pas bonnes, cela entraîne une cascade de modification. Qui impose de tricher et faire des compromis. L'emprunte vient d'être ressoudé en place et c'est nettement mieux. L’envers du décor. Après planage et une couche de primaire. C'était beaucoup de taf, mais c'est fait et la suite va pouvoir reprendre. Ceci n'est qu'un vieux souvenir .

Ben je crois que c'est une méthode pour te convaincre d'acheter les autres parties du collecteur chez eux !

Attention le Duracool est inflammable contrairement au 134 ou l'ancien R12 . Donc en cas d'accident ou de fuite ... https://www.apres-vente-auto.com/actualite/4154-exclusif-clim-mortelle-suite-le-vrai-danger-est-ailleurs

Je pense que tu as raison Oui c'était visible . J'ai des photos de pub d'époque sur lesquelles on peut voir des détails pas très qualitatif. Après bien sur qu'un détail esthétique comme celui-ci, je me sent obligé de le corriger. Surtout vu les travaux engagés. Je préfères en rire que d'en pleurer . Mais j'avais franchement les boules quand je me suis rendu compte de ces écarts aussi important . Le fait de ne plus avoir cette emprunte au bon endroit , influençait même sur l'inclinaison du feux arrière !

Hélas oui. Car le risque c'est d'avoir un plongeur qui reprenne sa position et donc d'avoir des tiges trop longues qui fassent toucher les soupapes par les pistons. Ce qui expliquerait tes tiges de soupapes tordue. Pose également un bout de pâte à modeler sur les pistons et monte une culasse à blanc avec le vieux joint . cela te donnera aussi une idée sur ta marge. Car de mémoire les culasses AFR ont des soupapes avec des queue plus longue que l'origine ( mini +.0100) pour accepter des levées plus fortes. Oups , je voulais bien dire "tige de culbuteur "pas de soupapes

Oui pas de souci pour la profondeur des gorges de piston. Si j'insiste sur les poussoirs, c'est qu'il me semblait bien que tu avais fait cette bêtise. Le fait que tu utilises un poussoir hydraulique standard pour faire cette mesure avec des ressorts de soupapes normaux. A pour effet (du à la faible vitesse de monté et pas de pression d'huile) d'avoir un plongeur qui s'enfonce dans le poussoir quand tu es en levé maxi. Ce qui a pour conséquence de te faire prendre des tiges un peu plus longue que celle dont tu as besoin. Si tu lis bien ton bouquin de prépa. Tu verras que tu peux ouvrir ton poussoir et bloqué ton plongeur avec des rondelles. Et en faisant attention de garder le plongeur à environ 1.5 mm en dessous du clips pour simuler la précontrainte. De cette manière ton poussoir n'a plus une hauteur variable. Si tu ne veux pas toucher au poussoir. Tu utilises un ressort très léger, fait dans une corde à piano.

Le patch d'aile est entièrement soudé. Je respire enfin, l'état de surface est correct. Les alignements sont respectés , mais je ne crie pas victoire. Car j'ai volontairement omis de vous dire qu'il y avait un gros hic. Pour aligner au mieux l'aileron extérieur, j'ai été obligé de relâcher le bas de l'aile. Ce qui eu pour conséquence de faire avancer le bas de 9 mm. Et pour couronner le tous, l'emprunte du pare choc n'a pas été embouti pile poil sur l’arrête de l'aile comme de l'autre côté. ( voir en dessous du +3) Donc pour rectifier ces deux problèmes, prise de mesure et creusage de tête. Puis dans la folie, passage à l'action . Cela ne suffisait pas, donc maintenant un peu plus ou un peu moins... Là on voit bien l'erreur d'emboutissage. Je redresse donc le panneau pour récupérer un peu de matière et faire l'alignement de la nouvelle arrête. Puis avec l'outil de fabrication locale, je reforme le retour au bon endroit. Je rajoute une bande tôle pour combler le vide. Un petit bout également sur la partie verticale. L'ensemble est redécoupé pour ce rapprocher des vrais dimensions. Un petit bout de tôle est aussi rajouté à l'emprunte. A redécouper plus tard également. Pour l’instant cela se présente pas trop mal.

Excuse moi pour l'absence. Je lance des questions et je te laisse dans la merde. Je reviens donc sur la mesure des tiges de culbuteurs. As-tu bloqué un poussoir ou simplement utilisé un poussoir ordinaire pour faire tes mesures ? Pour les segments prends des +.035 et ajuste les. Car avec ton alésage limite et des segments en .030 tu auras trop de jeu sans y toucher. ( c'est une méthode que j'ai largement éprouvé).

Tes marques verticale n'ont aucune incidence sur le fonctionnement .Elle ne sont pas profonde et sont sur une zone sans importance. Ton arbre à came à perdu un lobe, car le rodage de celui-ci a été loupé. Pour éviter cela, rien ne vaut des poussoirs rétrofit et un arbre à cames à rouleaux. Vu la photo de tes pistons , rien d’anormal. Mais le contrôle de tes segments doit se faire segments déposé et en place dans les cylindres. Pour ton alésage pas de souci. Sur circuit ont à toujours des alésages plus important que la normale afin de réduire frottement et échauffement des parois. C'est la segmentation fait le reste. Pour le honnage, le meilleur outils c'est celui à trois pierre et tu peux le faire toi même. Je n'ai pas lu tout les détails de ce sujet . Mais quand tu as calculé les longueurs de tige de culbuteur . Tu as bloqué mécaniquement un poussoir ou bien tu a utilisé un poussoir hydraulique ordinaire mais en utilisant un ressort de soupape très très léger ? Quand tu as réglé tes tiges de culbuteurs. Tu as simplement mit les plongeurs des poussoir un millimètre en dessous du circlips ou bien tu as utilisé une autre méthode ? Et sur tes culasses neuves. As-tu pris le temps de vérifier le jeu de tes soupapes dans les guides ? Les soupapes neuves étaient-elles bien graissées au remontage ? Je te pose ces questions. Car par expérience j'ai déjà vu des culasses soit disant prêtent à poser, qui étaient loin de l'être.

Sa bosse dur dans le 82

Tout comme le tien l'ami. Oui bien vu c'est une C2 de 67. Une vieille connaissance qui vient de passer quasiment 10 ans dans un garage humide !!! Cela résume bien la différence entre un spéculateur et un passionné Merci. j'ai plus le choix . Cette aile doit être raccordée d'une façon ou d'une autre. Merci.

Bien vu mais non . Ce sont les traces du tire clous pour tirer la tôle. Ils avaient mis de niveau l’aileron en y tapant dessus. Ce qui avait eu pour effet de faire rentrer cette partie sous l’arrête. Je l’ai donc retiré avec le tire clous tous les deux ou trois millimètre, ce qui explique ces traces.

Merci les gars J'avance doucement . Comment souvent j'emplois les clamps pour aligner les tôles. Les panneaux sont coupés au fur et à mesure. Car comme prévu la soudure fait bouger le patch quand l'ensemble refroidi. La partie basse est maintenant raccordée. Afin de maintenir le galbe de l'aile tout les moyens sont bon. Bien sur à chaque fois il faut tout retirer pour marteler les points de soudure et réaligner les tôles. Ici ça reste sympa, pas trop déformation. Au bout de plusieurs heures .... ce n'est pas terminé. Mais c'est de mieux en mieux.

Chez moi cela va d'une semaine si c'est en stock dans le hall, et parfois à + de 6 mois dans certain cas si la fabrication et les transporteurs s'y mettent..

La suite sera de souder les deux ailerons, mais avant il va falloir les aligner . Content que cela te plaise. Donc voici la suite: Après avoir jouer avec tout le matériel possible ( vérin, mètre ruban, levier, cale, cric, clamps, pince étau, maillet, régle, laser, disqueuse.....) Enfin la partie centrale et un aileron sont alignés. Quatre clamps et deux pinces étau dessous tiennent l'ailerons de droite en place. Pour l'instant l'ailerons extérieur est impossible à mettre correctement en place. Oui c'est moche, je vais donc souder celui de droite et je m'occuperais du gauche plus tard. La partie centrale et l'ailerons de droite sont maintenant grossièrement pointés pour qu'ils ne bougent plus Puis une découpe est faite au niveau du trait laser sur la moitié haute du panneau. Pour libérer la tôle et m'aider à positionner l'ailerons extérieur. Deux heures plus tard, l'aileron est en place et pointé à son tour. Jusque-là ce n'est pas si mal. Je redoutais cette étape et finalement cela n'aura pas été la plus complexe. Reste maintenant tout le panneau à faire ( plus de 80 cm de soudure) et les déformations qui vont avec.

Surtout pas, ça c'était au siècle dernier. Une bonne raison pour déculasser.

Aujourd'hui j'ai aligné le patch pour avoir l'encadrement du feu AR aux bonnes dimensions. J'utilise une lame de métal comme gabarit pour faciliter la mesure. Recontrôle du niveau avec le laser , et puis le tout est immobilisé pour commencer à souder le raccord du haut et du bas. Maintenant j'assure l'arrière en utilisant un tube de section carré et trois pinces étaux, pour être bien droit...Puis soudure. Voilà une étape de moins à faire ou une de plus de terminé. Les finitions seront pour plus tard.

Après quelques heures de planage, de découpe ....et de grattage de tête. J'ai commencé à approcher le patch. Un premier alignement. J'essaye d'être plus précis et de me rapprocher des dimensions. Maintenant que j'y suis, les arrêtes sont immobilisées par deux vis qui traversent les deux épaisseurs. Ce n'est pas encore en bord à bord , mais cela s'en approche petit à petit. Sous le feux AR une pince sera suffisante pour l’immobilisation. J'attends pour faire une coupe plus juste . Comme ça je peux ajuster cette partie plus tard. Les dimensions sont prises et les alignements sont ok. Rien ne bouge. Bon, je me jette à l'eau en faisant les deux premières coupes définitive. Le long de la gouttière et de celle-ci au premier aileron. La première soudure , maintenant c'est partie. l'alignement de l'arrête longeant le couvercle de malle et définitivement en place.

Un Ben Muller, J'ai eu la possibilité d'en récupérer un chez Audi. Mais son logiciel n'était pas compatible avec les PC d'aujourd'hui. Donc je n'ai pas donné suite. Le Facom fonctionne avec des lampes H1 et un transfo 220 v/ 12 v, donc réparable facilement . C'est le hazard qui me l'a fait acheter et finalement je ne regrette pas. Pour un garage le temps de mise en place + contrôle et réglage n'est absolument plus rentable ( trop de temps passé) . Mais pour des amateurs comme nous, c'est parfait et en plus décoratif .

Gros gros taf de fait chez toi aussi . Ta méthode de sablage du dessous de caisse est simplement hallucinante. Pour infos il existe des masques avec une arrivée d'air extérieure. Je ne comprends pas pourquoi tu passes de l'anti-gravillon sous tout ton dessous de caisse. Un apprêt avec une simple couche de peinture suffit et c'est très propre. Vivement la suite.

A bon , moi qui voulait me reposer. Merci. 5 à 6 ans, cela semble possible. 4 c'est un peu court.

Dans un premier temps je vire les restes de l'aile. Et débute la réparation de la gouttière intérieure et extérieure qui servent de renfort autour de la malle. Cette zone n'a plus de rigidité suite aux points de soudure qui ont sauté pendant le choc et le redressage. On voit bien que plus rien n'est aligné. J'ai soudé l'ensemble de par l'intérieur. Puis laissé ainsi pour gagner en rigidité et vu qu'il est impossible d'y avoir accès plus tard. Le couvercle de malle me sert maintenant de repère ...Le renfort est OK, je peux continuer. Le bas de l'aile, pour l'instant plus proche de la tôle ondulé est à son tour dégrossie. C'est mieux , mais c'est loin d'être au top. Comme va le confirmer la photos suivante vue de l’intérieur. A contre jour l'intérieur révèle les déformations restantes. Et puis il y a cette réparation du haut de l'aile à prévoir. Vue extérieure. Vue intérieure même punition. Tant que j'y étais , décapage du reste de la jupe et traitement. Plus tard je verrais ce que je garde ou pas. Une photos pour la postérité avant , plus tard.