-
Compteur de messages
20 374 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
278
Type de contenu
Profils
Forums
Store
Tout ce qui a été posté par Phil
-
Les bâtiments étant à l'époque en bois, ils ont plutôt dû "déblayer les décombres" que "raser" Quelques images supplémentaires : La Cliff House vers le milieu des années 50, là aussi les voitures sont difficiles à identifier plus précisément que l'époque. Noter le joli woody vers la droite Une carte de 1907, mais avec une vue un peu plus ancienne : les moulins hollandais installés en 1903 et 1908 au bout du Golden Gate Park (à droite de l'image) ne sont pas visibles. Noter l'absence totale de voitures, et la route d'accès en terre. La mention "printed in Germany" à gauche est fréquente sur les cartes de cette époque, l'Allemagne étant alors une référence mondiale en matière de qualité d'impression. A cause de la guerre, cette activité cessera en 1915, les cartes postérieures étant toutes made in USA. Un peu plus récente (vers 1910-1915), les moulins sont bien là : Le © Moulin en bas n'a rien à voir et signale que la photo est de Gabriel Moulin, un photographe français installé à San Francisco et très prolifique à cette époque. Sur trois générations, les studios Moulin ont produit des photos de qualité pendant tout le 20° siècle, et existent encore - ils commercialisent des tirages de leurs anciennes images : http://www.moulinstudios.com/ Encore plus récent, une attraction : un téléphérique qui promenait les touristes sur les quelques centaines de mètres séparant la Cliff House de Point Lobos, en survolant les Sutro Baths. Il a fonctionné de 1955 à 1965 - cette carte a été postée en 1958 -, et était (paraît-il) très peu sécurisant à cause du vent violent qui balaie la côte à cet endroit.
-
Help,fuite de liquide de refroidissement
Phil a répondu au sujet de buxois84 dans Mécanique Générale
Et en reposant la pompe, mets de l'huile, ou mieux de la graisse cuivrée, sur les filets des vis, et surtout pas du frein-filet. Certaines peuvent déboucher dans des passages d'eau et peuvent être bien assez difficiles à démonter sans qu'on en rajoute . -
La durite devrait aller de l'assistance au collecteur d'admission, pas à la boîte.
-
La voiture, à finir (tournante et roulante avec mécanique refaite de A à Z, toute la tôlerie refaite et en apprêt, avec quelques cartons de pièces à remonter après peinture) a été vendue le mois dernier
-
Si ton usage courant, c'est faire régulièrement de la distance à 130 de croisière sur autoroute, la grande majorité de la production automobile mondiale de 1960 en est incapable. Et ce qui en est capable va te faire pleurer en passant à la pompe : pour faire avancer à 130 un profil de conteneur de 20 pieds, il en faut dans le réservoir. Sans parler des boules Quies. Avec une ancienne de cette époque, la bonne vitesse de croisière c'est entre 100 et 120. Pour trouver un pick-up qui fasse ça en silence (relatif) et avec une économie (relative), il faut chercher dans les années 1990-2000.
-
J'avais compris "faire le boulot qu'une seule fois", c'est aussi éviter de faire deux (voire trois) commandes : pas la peine de commander quoi que ce soit avant d'avoir démonté. bon courage haha
-
Ah mais non, il faut quand même du matos qui tienne le coup en conditions hi-perf on voit que l'expérience a bien fait mûrir Cuda. Par exemple : des boulons chromés, c'est indispensable pour gagner des centièmes Bon, sérieux, quand TBird reçoit une boîte, il l'ouvre, il démonte, il mesure tout, et ensuite il commande. Si cette méthode n'était pas la bonne, les retours en garantie lui auraient fait fermer boutique depuis longtemps.
-
Ba tu donnes la réponse toi-même... Vu les photos, celui-ci a été monté en radiaux, genre 225 ou 235/75/15. La dimension avec laquelle la Cadillac prend (prenait ) le 170 à l'heure à 4000 tours avec un pont en 3.36... A vue de nez, ce pick-up doit tenir le 100-110 indéfiniment, et grimper aux arbres si besoin.
-
pour une hauteur et un profil de came identiques, oui.
-
Pour un mécanicien, un moteur c'est un moteur, ce V6 n'est pas différent de conception des V8 de la même époque. "rareté", c'est quand même relatif. A l'époque, il se fabriquait chaque année davantage de pick-up GMC aux US que de 2CV Citroën chez nous. Et les pièces de 425cc, c'est pas ce qui manque. Toutes les pièces d'usure sont disponibles aux US, comme pour le premier 350 Chevrolet venu. Evidemment, pour trouver des pièces "perfo" genre arbre à cames pointu ou collecteurs 3 en 1 , c'est une autre paire de manches, mais je ne pense pas que ce soit le but... Je m'inquiéterais davantage si le "en cas de casse" concerne la carrosserie, mais ce sera le cas pour n'importe quelle Américaine qui n'est pas une Mustang, une Camaro, une Tri-Chevy ou quelques autres modèles pour lesquels on trouve à peu près tout.
-
Que le moteur tourne avec ou sans allumage, il tourne. Quelques dizaines de tours à sec suffisent à couler une bielle ou un coussinet d'AAC.
-
Parce que si on met de l'huile dans les manetons et tourillons de vilebrequin, d'AAC, les culbuteurs etc. , c'est justement pour leur éviter de faire les premiers tours à sec...
-
La levée des soupapes, c'est de combien elles montent en sommet de came. Avec les culasses sur l'établi, c'est toudsuite plus compliqué...
-
Le rapport entre pompe à huile et allumeur, c'est que sur les V8 classiques l'AAC entraîne en même temps l'allumeur et la pompe à huile : l'amorçage de cette dernière se fait donc par le trou d'allumeur. Sur les Gen 3/4, ça n'est apparemment pas fichu pareil .
-
Et je peux te faire la même proposition qu'à Harry
-
Pour ce genre de chose, laisse tomber Rockauto, et cherche sur les sites des vendeur spécialisés Chevrolet full-size 60s.
-
Typiquement, un ressort qui s'affaissait a été changé par un autre ressort d'occasion, ou a été détendu au chalumeau avant d'y couper une spire... La solution, c'est une paire de ressorts neufs. Pas du premier prix, mais du étudié pour ta voiture (modèle, année, motorisation). C'est deux ou trois fois plus cher, mais, comme on dit, "tu n'as pas les moyens de prendre du bon marché" . Eviter aussi les modèles qui rabaissent l'avant de la voiture (de 1 pouce, ou 3 pouces, ou 2 pouces un quart trois seizièmes hi-perf) : c'est classe sur les photos, tous ceux qui ont ça sont hyper-fiers de montrer leur chignole en mode br*nlette au milieu du parking. Et aucun ne raconte jamais comment le moindre ralentisseur ou rampe de garage souterrain se transforme en cauchemar. C'est dire s'ils ont trop la honte .
-
Mon fils, qui transfère tout et n'importe quoi sur clé USB (surtout n'importe quoi ), n'est pas là en ce moment. Et moi, j'ignore totalement comment on fait. Mais si tu sais, ça peut s'arranger pour le prix du port aller et retour, à moins que tu passes par chez moi .
-
On "prélubrifie" un moteur essentiellement après démontage et réfection, quand le haut moteur est encore sec. Pour ça, le plus simple est de déposer l'allumeur et d'actionner la pompe à huile au fond du trou avec une perceuse et un long adaptateur home-made - sur les Ford, l'axe de l'allumeur avec une rallonge de visseuse en 1/4" hexagonal va très bien, à condition de ne rien laisser tomber au fond du carter . On arrête quand on voit de l'huile gicler par tous les trous de lubrification des culbuteurs dans les culasses. A ce stade, il vaut mieux avoir mis des chiffons partout . Faire passer l'huile dans tous les endroits à lubrifier, avec la pression nécessaire, réclame pas mal de puissance. C'est aussi pour ça que la pompe à huile est entraînée par le moteur : à cet exercice, une perceuse sur secteur même puissante chauffe très vite, et une bête visseuse-dévisseuse risque de mettre son accu à plat avant d'avoir fini. Ce genre de pompe n'est pas fait pour ça : "scavenge pump" c'est une pompe de refoulement, utile pour transvaser de l'huile d'un récipient à un autre (par exemple pour vidanger un carter par aspiration) ou pour lubrifier un organe extérieur (un turbo déporté par exemple ) par barbotage ou aspersion, pas sous pression.
-
Merci des commentaires J'ai deux images plus anciennes du Flood Building (celui du Woolworth's) où on voir aussi la turntable Vers 1907-1908 : Vers 1915-1920, avec les tramways de Market Street : J'ai pas mal de choses de 1906, mais rien de Powell. La tienne est super . Sur celle en couleurs datée 1958, il y a une GM (Buick ?) de 1960-62 me semble-t-il.
-
Toujours dans les années 50 : Années 60 : Noter que le "retournement" de la voiture se fait à la main par les "gripmen". A l'époque, les voyageurs pouvaient aider à la manoeuvre pour gagner du temps, ce qui est maintenant strictement interdit. Années 70-80 Woolworth's n'est plus là depuis une vingtaine d'années, remplacé par un magasin Gap. Sic transit...
-
Un des emblèmes de San Francisco est le cable car, ce moyen de transport mû par câbles sous la chaussée. Au départ (1872) conçu pour gravir les collines plus facilement que les voitures à chevaux, son énergie provenait de gros moteurs à vapeur qui tractaient les câbles, les voitures se contentant de les aggriper avec plus ou moins de force. Refait et électrifié après le séisme de 1906, le réseau ne compte plus que trois lignes, une sur California Street et les deux autres au départ de la grande artère commerçante Market Street à son intersection avec Powell Street. Ce carrefour ("Market at Powell") peut être considéré comme en plein centre ville, depuis que le Bay Bridge a fait perdre à l'embarcadère des ferries une bonne partie de son activité dans les années 30. Contrairement à la ligne de California Street dont les voitures ont deux dispositif d'aggripage du câble et deux freins (un à l'avant, un à l'arrière), les voitures des autres lignes doivent faire demi-tour sur une table tournante située à ce carrefour emblématique. Une vue ancienne des années 1920 En 1938 Deux autres cartes de l'avant-guerre, en réalité la même photo fortement retouchée : des voitures et des piétons ont disparu, mais ce qui reste est exactement au même endroit. Evidemment, la vue originale étant en n&b, il ne faut pas non plus tenir compte des couleurs. Dans les années 40, là aussi une même vue utilisée en horizontal et en vertical En 1952, le magasin "Owl Drug Co" au rez-de-chaussée du Flood Building (à droite) est remplacé par la célèbre enseigne Woolworth's. Cette époque marque aussi la disparition des cartes postales "linen" à forte teneur en fibres et aux encres qui bavent, au profit des "chrome" encore en usage, à la surface brillante imprimée en quadrichromie à partir de photos en couleurs.
-
Ceux-ci sont une édition anglaise, moins chère que la française sur ah-ma-zone. Son en anglais et français, sous-titres en anglais, français et langues scandinaves. Perso, je regarde en anglais avec sous-titres anglais. Attention, chaque saison (6 et 7 DVD) est en 2 volumes, éviter d'acheter les volumes séparés - sinon il faut acheter 2 coffrets par saison, ah les mystères du marketing...
-
C'est vrai qu'on trouve beaucoup de showrooms dans cette rubrique "pick-ups", va falloir mettre de l'ordre
-
Commandé et reçu les deux premières saisons de "Streets of San Francisco" Dès le premier épisode, on n'est pas déçu : - les bagnoles, dont la Ford 71-72 marron kitsch du duo de flics, mais aussi plein de caisses des années 60 voire 50 dans la circulation - le son : musique à base de cuivres jazzy, effets àlakon comme les pneus des voitures qui crissent sans arrêt, du burn en sortant de l'emplacement de parking au coup de frein sur la plage. - les fringues : veste à chevrons et rabats de Michael Douglas (contrastant avec l'imper démodé de Karl Malden), veste en cuir cintrée de l'avocat, robe courte rose et jaune psychédélique de la victime... - les dégaines : cheveux dans le cou, rouflaquettes, mèche à la Trump de l'avocat, coiffure d'épagneul de la victime, tignasses des hippies, moustaches de phoque du méchant au crâne rasé (un truc hyper flippant à l'époque) - les effets de zoom et cuts d'une demi-seconde psychédéliques, phénoménalement vintage - Et en permanence Frisco en arrière-plan, que ce soit le Golden Gate, Alcatraz ou les ribambelles de maisons victoriennes. Bref, pas sûr de tout voir mais je vais m'en faire un paquet rien que pour l'ambiance. Les scénarios, heuuuuu