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Tout ce qui a été posté par CAN-AM
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Comme tu dis cela sent bon et si la météo ( pas trop chaud et pas de pluie) suit le mouvement , ce sera parfait. Mais ce qui est sur, c'est qu'il n'y aura plus de formage ou de soudure dans les mois avenir. En contre partie je vais attaquer les trucS que j'aime le moins..........Le ponçage et les joints de raccordement. Vivement que j'attaque le châssis.
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Merci. Pour l'instant je vais faire en sorte que ces renforts soient démontables. Comme ceux du pavillon, ils seront boulonnés et collés au dernier moment. Sinon sur la caisse il ne me reste plus grand chose après ces renforts de malle, autre que quelques redressages par-ci par-là. La suite sera dans la catégorie préparation avant peinture, comme les joints des raccords de tôle, les anti-gravillons dans les passages de roue,..... Les apprêts époxy intérieur et extérieur. Le but étant que pour septembre je puisse la présenter dans les meilleures conditions possible aux différents ateliers carrosserie peinture pour négociation. En parallèle je vais dépouiller le châssis pour le sablage , prise de mesure et redressage si nécéssaire.
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Un coup de ponceuse et il ne reste que ce qui est nécessaire . Une couche de primaire et c'est fini. Les trous de fixations des supports provisoire sont bouchés. Sur la liste il y a aussi la reproduction des renforts montés d'origine sur certaines autos. Mais manquante sur la mienne ( Default de jeunesse ?) J'ai un petit bout qui provient des restes de l'aile d'occase. Et une photo. Voici le prototype , je l'ai volontairement monté à l'envers afin de me servir plus tard de sa face plate. Ce sera la fixation de l'Isorel d'habillage de la malle qui ne tient pas par grand chose. Au niveau du plancher cela tombe bien. Mais pour la partie haute c'est une autre histoire, Je ne peux la reproduire. Car d'origine le support est soudé entre le passage de roue et l'aile. Donc pour l'instant j'ai fait cette fixation, une patte de plus derrière sera nécessaire.
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Tu ne seras pas le premier à démonter une pièce récemment en place. pour avoir oublié un truc
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Chrysler New Yorker 1967, changement du carbu' : besoin de plus d'infos
CAN-AM a répondu au sujet de Tom dans Carburateur
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juste faire attention au sens de montage , car sur certain moteur il y a la place de le mettre à l'envers. Pour faire simple, le bulbe doit se trouver côté moteur.
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Le 180 est parfait pour chez nous, cela donne environ 82 ° à l'ouverture. Donc à 90° le liquide circule bien dans le radiateur et cela t'assure d'avoir une température d'huile correcte.
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Finalement je vais découper le morceau et faire une petite pièce. Car le métal est contaminé par la brasure et n'est pas soudable au semi auto. La découpe est faite, le traitement aussi . Voilà c'est en place, les courbes sont bonnes. Ici au centre, on voie encore une petite zone qui faut taper et ce sera nickel. Pour cacher la cicatrice , je n'ai pas employé d'étain . Mais sont équivalent chimique. Dans un premier temps il faut passer une lingette enduite de primaire réactif. Puis on étale le substitut de l'étain comme un mastic. Voici les produits employés. Ensuite j'ai réparé l'angle de l'aile arrière droite qui était percé, faute d'épaisseur suffisante. Et également la soudure d'angle qui avait besoin d'être chargé. Et sur la liste des petites choses à faire il y avait aussi la gouttière de la jupe arrière. Gouttière qui est en fait le logement du joint de malle. Elle revient de loin (écrasée), au départ j'avais prévu de la remplacer. Suite au premier dégrossissage fait l'année dernière . Je l'ai reprise aujourd'hui pour la terminée, et elle fera parfaitement l'affaire.
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Tu en as un en photo ? Pour comprendre à quoi cela ressemble.
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Tu me rassures , je comprends mieux
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Eagle venant de toi cela m'étonne, a moins que ce joint fonctionne en wifi ou a distance . La position de montage de ce petit joint noir, fait qu'il aura bien du mal à corriger le passage de l'huile entre la queue de soupapes et le guide. Surtout quand les conduits d’admission sont en dépression. Ou bien que les échappements font effet venturi. Ce petit joint n'a d'utilité qu'au moment de l'arrêt du moteur pour éviter que les cuvettes ce vident le long de la queue de soupape. Il ne vient même jamais en contact avec le guide. Cette photos suffit à comprendre pourquoi cette technique a été abandonné. Ont voit bien la surface d'usure de fonctionnement de la queue de soupape. Ce joint n'a aucun effet sur l’étanchéité des guides, seul l'ajustement régule le passage d'huile de lubrification entre la queue et le guide. Et je ne parle pas du grade de l'huile employée. Contrairement à ce montage qui est lui , nettement plus efficace. Sauf que sur cette photo on voit clairement que le gars a ruiné le joint en repositionnant la soupape sans précaution . ( Hors sujet : la pose de ce ressort conique simple à petite coupelle et aussi une bonne modif . Moins de poids donc d'inertie des pièces en mouvement et progression de la résistance du ressort . Les cames apprécient). L'outil de blocage des soupapes à air comprimé fonctionne étonnamment bien. Nous avons ce type de matériel en concession depuis des années, justement pour changer les joints sans dépose de culasse.
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Les étains des ailerons sont terminés et les zones sont traitées. Un simple coup d’œil suffit pour voir la différence avec avant. Une bonne chose de faite. Dans la foulé, deux petites reprises dans la gouttière. Et mise en primaire de l'ensemble. Pour le pavillon c'est définitivement fini . Sous le pavillon dans l'habitacle, mise en place des inserts de fixation pour le renfort avant et arrière. Cette solution permet un montage durable et vraiment solide, ils sont sertis en force avec une pince spéciale. De ce côté j'ai été obligé de rallonger le renfort arrière. Car pas centré d'origine et d’ailleurs un seul point de soudure sur trois tenait . Donc finalement ce sera mieux. Voilà les renforts sont maintenant démontables. Je pourrais ainsi repositionner l'insonorisant ou isolant correctement. ( sorte de carton goudronné ) La traverse avant devait être provisoire. Mais finalement elle maintiendra l'isolant qui à tendance à ce décoller pour tomber sur le ciel de toit. Lorsque le montage sera définitif, je collerais les renforts aux points de fixation avec la colle structurelle. Pour s'assurer qu'ils ne créent pas de bruit dans le temps. Ce mauvais raccord caché sous l'étain va être la prochaine étape. Ils ont enfoncés au marteau ce qui dépassait et meulé le reste au point de passer à travers. Il y a même des traces de brasures pour des raisons que j'ignore.
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Un booster n'est rien d'autre qu'une batterie au gel dans un emballage portatif Et pour les plus modernes ( léger et compact) se sont des condensateurs a forte capacité. Donc ne pas casser la tirelire pour une utilisation tout les 36 du mois. Car sa durée de vie sera très réduite. Une batterie 12 volts peut aider, mais les lampes témoins n'apprécie pas . Ainsi que les bobines du régulateur de tension . Dans l'idéal il faudrait une grosse 12 volts , partiellement déchargée. Le mieux est d'intercaler un consommateur (résistance) entre la batterie et le reste de la voiture. J'ai déjà rouler au quotidien avec du 6 volts et ce n'est vraiment pas le top . Même avec un système en très bon état. Les dynamos n’apprécient pas les longs trajet ( de type autoroute) . Ainsi que les centres ville avec de long moment au ralenti ( lumière en service)
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La saison carrosserie n'est pas tout à fait fini. Mais les prochains épisodes seront moins spectaculaire. Tu as raison, il fallait que cela avance . Depuis plusieurs mois, j'avais la hantise d'attaquer ce pavillon. Jusqu'au dernier moment j'ai hésité sur les solutions à prendre. Même si le pavillon d’occasion peut semblé ne pas avoir servi à pas grand chose, c'est en fait tout le contraire. Le fait de le disséquer m'a permit de reproduire les bonnes formes et d'envisager des solutions. Sans compter le trois arrière et la gouttière de droite prélever sur ce pavillon. Un gain de temps et d'agacement considérable. C'est franchement facile à faire. Mais tu as mit le doigt dessus. Oui la chauffe cause des déformations sur les tôles . Il faut compter sur une température entre 350° à 400°. Si tu as le choix, genre sur un panneau ou un élément. Favorise le mastic alu, ou bien un bi-composant comme le Terokal 510 TR. La fin des travaux est moins proche que pour la tienne. Mais tu as raison le taf de tôlier formeur arrive à sa fin et cela fait du bien. Je ronge mes freins pour ne pas me jeter sur le châssis. L'aileron c'est 2.40 m de long . Une époque ou les designers se posaient moins de questions et dont tout était possible. D'ailleurs sans ces quatre ailerons ce ne serait plus la même auto.
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Et en pole position, la classe
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Finalement l'outil maison pour réaligner les ailerons intérieur a fait l'affaire. Il y avait un bon centimètre d'écart. Il reste un millimètre sur la partie de droite mais cela est du au mauvais assemblage. Même opération de l'autre côté, l'écart était moins important. Nettoyage de la jonction des deux éléments avec un décapeur thermique. Je peux maintenant remettre de l'étain . Une baguette à 35%, une spatule, un décapeur thermique, ça va le faire. Une bonne épaisseur permet de ne pas y revenir, comme pour le mastic. Maintenant la lime fraise va servir à dégrossir en enlevant le surplus. Voilà c'est déjà mieux. Un coup de ponceuse et je m'arrête là pour l'instant. Voilà un côté de fait, visuellement c'est nettement mieux .
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Plus de trou dans la jupe arrière, elle est terminée. Dans les finitions il y a ce genre de dent de requin laissé par un emboutissage à l'arrache et un manque de temps sur la chaîne pour l'éliminer. Même si c'est d'origine je préfère supprimer ce genre de chose. Car par la suite je devrais poncer ces zones pour la peinture. Et donc mes doigts s'en porteront mieux.. Le conduit de la goulotte de carburant qui se trouve dans la malle, avait subi quelques impacts de chargement. J'ai supprimé les plus important et reprit les quatre soudures la reliant avec le plancher. Avec une bougie de préchauffage et une soufflette, j'ai également viré l'étain sur le dessus des ailes arrière. Une vue qui explique pourquoi, ici l'étain a été utilisé. Après redressage je recomblerais d'étain cette zone. Car je sais maintenant qu'il n'y a pas de corrosion. De même l'acier étant déjà étamé je n'aurais donc pas besoin d'utiliser d'acide. L'autre endroit se situe sur le bout de l'aile au niveau du montant. Ici les deux tôles ne sont pas au même niveau, ce qui explique pourquoi la courbe ne correspondait pas avec la portière. ( du travail pour plus tard)
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Ok, show must go on
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C'est étonnant que tu veuilles rouler avec cette voiture. Sachant que tu as détecté un bruit de bielle. Car si ce n'est que le début, tu peux avoir la chance de sauver le vilebrequin. Mais si tu insistes, il n'y aura pas plus de doute ton vilo sera HS. Voir pire, une bielle qui cogne peut finir par casser et traverser le bloc.
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Le moment est venu de fixer le tourne broche sur la traverse arrière. De cette manière je pourrais supprimer les renforts provisoires qui sont dans la malle. Mais afin de ne pas vriller cette traverse, j'ai pris quelques précautions . Qui peut le plus, peu le moins . Par sécurité , sur les quatre vis qui sont vissées dans la traverse. Deux traversent le plancher sur lequel deux plaques d'acier viennent servir de renfort. Cela libère de la place pour faire quelques finitions . Je peux maintenant refermer les deux trappes, faite pour passer le tourne broche à travers la jupe arrière. Sachant qu'il faudrait les refermer par la suite, je n'avais pas découpé totalement la tôle pour faciliter le travail. Après planage , il suffit de souder le tout. La jupe va de ce fait trouver toute sa rigidité et enfin retrouver sa forme d'origine..
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L'étain dans le milieu de la carrosserie, est souvent associé à un savoir faire qui a disparu. Et donc comme beaucoup de vieux métiers ont les considèrent comme "nobles". Pour m'y être essayé je comprends que cela soit abandonné. Le temps d'application et la mise en oeuvre ou façonnage sont disproportionnés par apport aux mastics ou résines genre "Terokal" . Surtout quand il s'agit d'un simple garnissage. Mais dans certaines conditions l'étain garde l'avantage. Avec une épaisseur de quelques millimètres ont peut considérablement renforcer une zone, genre le raccordement de deux pièces. Son principal inconvénient c'est quand chauffant la tôle pour l’application ont déforme toute la zone autour de l'étain !!! Aujourd'hui les ajustements sont beaucoup plus précis, grâce au tôle plus élastiques et plus fines. Nous pouvons donc réaliser des formes plus complexes. Et quand il y a des pocs sur un panneau. Il sont redressés de la même manière que les impacts de grêle.
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Exactement, et c'est justement les quelques bricoles qui me dérangent. Genre le raccord de cet aileron mal aligné d'au moins un centimètre !!! Avec son raccord noyé dans l'étain. Ce sera mon prochain passe temps. C'était le cache misère par excellence. Ici les deux éléments ne sont pas en face. Et comme dit phil, il y a aussi les fissures de l'étain. Et pire parfois la corrosion dessous. Ici tartiné a outrance et peint ainsi , visible a chaque fois que le conducteur ouvre la portière. Le trait noir représente la position à laquelle l'aile devrait se trouver pour correspondre à la courbe de la portière. Et pour couronner le tout, ils ont tellement meulé l'arrête. Qu'il n'y a même plus de tôle. ( Au bout de la rayure c'est un trou )
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Merci. Si parce qu’il n'y a pas un seul élément, qui dans le passé n'est pas été accroché ou accidenté. Mais tu as raison en 1959 les tolérances étaient larges. Surtout que cette coque est la 166 ième construite par Fisher sur les 27 000 produites en coupé sport. C'était la toute première semaine de fabrication en septembre 1958. Donc elle à la plupart des erreurs de jeunesse. A ce sujet la suite des travaux, sera de corriger les plus grosses erreurs d'assemblage. Il y en a 3 ou 4 qui ne me plaisent vraiment pas.
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Et franchement je ne pensais pas qu'en partant de là. J'y parviendrais avec seulement de la patience .
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Reprise du dégrossissage pour finir le remise en forme définitive. Cela progresse bien. J'ai fait un petit cordon de soudure pour diminuer une bosse. Bien les boules car cela demande un gros taf pour revenir au même niveau. Puis soudure par point de la gouttière avec le pavillon. Cette fois-ci c'est terminé pour le pavillon. Vue de l'avant c'est également correct. La moulure qui maintient la baguette est correctement alignée. J'ai pris soin de maintenir le pavillon pendant le soudage par point. Voilà c'est enfin terminée pour ce pavillon.