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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 30/10/2019 dans toutes les zones

  1. pierre 01

    Voitures américaines croisées sur la route

    Dodge Van Airstream Chevrolet Chevy van Dodge Ram
    1 point
  2. CAN-AM

    Eclairage idéal pour défauts de peinture

    Pour répondre aussi à ta première question. Non je ne suis pas carrossier. Mais je baigne dans les ateliers auto depuis que je sais marcher . (Cela s'appelle formation sur le tas) Je suis également le connard de chef, qui ne verra que les défauts sur une peinture neuve et qui dira " On ne livre pas, on recommence" . Pour te donner une idée, nous traitons environs 45 voitures par mois depuis environs 25 ans. Les carrossiers me détestent, alors que moi je les aime bien c'est bizarre Plus sérieusement, regarde un débosseleur travailler et tu verras qu'il ne sait rien faire de bien sans lumière artificielle. Sur une voiture dehors au soleil, tu ne vois pas la moitié des imperfections. Et si tu prends une loupe pour regarder en détail le micro bullage. Cela ressemble plus à la surface de la lune que celle d'une mer d'huile. Les raisons sont multiples, taux d'humidité, respect des temps d'évaporation des solvants, quantité de durcisseur, épaisseur d'application, délais d'applications, temps de chauffe et température de la cabine....bref peintre c'est un vrai métier. Je ne connais pas les raisons de tes questions. Mais un peintre sait avant même que la voiture soit sorti de la cabine , qu'il a merdé. Et c'est généralement une population qui ne se sert pas ou profite pas de la critique pour s’améliorer. (ça ce n'est que mon avis personnel)
    1 point
  3. Pour la petite histoire, c'est ce qu'on appelle un 73-87; la production a cédé la place au GMT 400 à partir de 1988 pour les P/U, mais Les tôlés (Suburban, Blazer, et les gros de la classe 3500), ne sont passés en GMT 400 qu'en 91. Ça explique pourquoi le tien a encore l'ancien châssis, mais le moteur injecté. Ton VIN indique 1 en position 6, ton châssis est donc un 1500 livres. J'ai eu un 73-87: la conduite va te changer pr/r à ton Tahoe; c'est une grosse machine agricole, sans aucune aide à la conduite. Tu vas avoir beaucoup moins de chevaux, donc accélérer poussif, et tu t'apercevras assez vite que rien n'arrête un Suburban, même pas les freins. Ce qui veut dire: prudence, méfiance sur le mouillé, grande méfiance sur le mouillé en descente (car une fois qu'il est parti, tu verras où il veut aller quand il aura fini d'y aller). J'ai testé pour vous avec mon 6.2 diesel qui n'était pourtant vraiment pas une voiture de sport: à 80 km/h, j'ai bloqué les quatre roues sur le mouillé, car devant moi, une petite Fiat avait décidé de piler sans prévenir. Pendant plusieurs secondes, le compteur indique zéro km/h, mais le paysage défile toujours aussi vite, et j'ai fini par faire l'ABS moi-même en relâchant un peu la pédale, et me suis arrêté à quelques centimètres. Méfie toi du train avant. Il y a beaucoup de choses à vérifier qui peuvent entraîner une usure irrégulière des pneus, et ce ne sera sans doute pas seulement le parallélisme: j'ai changé toutes les bagues et rotules du mien, et il a toujours tiré d'un coté sans que je sache pourquoi. Une fois aux manettes, pense à faire régulièrement (une fois pas mois) tourner ton train avant: mets le en 4x4 sur une ligne droite rapide pendant 10 bornes, ça met de l'huile là où il en faut dans le pont avant. Accessoirement, ça te permettra aussi de voir si ça met de l'huile là où il ne faut pas. MAIS évite de rouler en 4x4 dans les virages, la bête n'aime pas. Et de temps en temps (une fois par trimestre) , mets les petites vitesses pendant un petit km (et encore en ligne droite de préférence) pour faire tourner le transfert. Fais le autour de chez toi, car on a vite l'air ridicule. L'engin est constellé de points de graissage: il faut sans tarder t'acheter un pistolet à graisse, te procurer le tableau de graissage détaillé, et dès livraison, le graisser de partout, car il aura traversé l'Atlantique par bateau, et tu devras encore une fois supposer que personne ne l'a fait depuis longtemps (surtout s'il a fait beaucoup de show-room, les revendeurs détestent les boules de graisse dans leurs locaux, donc ils n'en mettent pas) .
    1 point
  4. Merci Kat55!! Merci Eddy!! Nous avons hâte d'en profiter! Merci Sébastien!! C'est clair qu'il est extrêmement propre!!
    1 point
  5. Il est magnifique ! félicitation pour cet achat , il est comme neuf en plus !
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  6. Magnifique, profitez en bien. Belle acquisition
    1 point
  7. 1 point
  8. Phil

    Comment se faire sauter la pastille...

    Merci pour votre soutien mais bon, ça n'avance pas si vite que ça, beaucoup de retours en arrière pour des c*nneries ("faire et défaire, c'est toujours travailler" ) Heuuu pas pour demain. Il y a aussi une Cadillac en attente, et puis avant ça une moto à redémarrer et une RiCinq en quête d'une cure de jouvence Ces deux derniers jours, l'avancée est donc plutôt lente, mais dans le sens du remontage. Remontage des accessoires moteur, pompe de DA et alternateur, et ce qui va autour : câbles de masse, durits diverses, pas toujours coopératives, surtout quand on ne se rappelle plus bien par où ça passait Et puis, une fuite de LDR au niveau du thermostat oblige à tout vidanger et à redémonter son carter, en s'apercevant que les vis sont bien moins accessibles quand le collecteur est sur le moteur . Côté moteur, les culbuteurs. Après un réglage en très très gros par TBird, on fait tourner le moteur pour faire monter l'huile dans les culbuteurs via les tiges creuses. Côté passager, ça met le temps mais tous les culbuteurs finissent par cracher l'huile. Côté conducteur, deux culbuteurs restent obstinément secs, il va falloir employer les grands moyens. Au passage, l'huile finit sur le collecteur d'échappement en dégageant une épaisse fumée à faire partir Greta Thunberg dans un grand rire nerveux . Pour continuer, on replace donc le cache-culbuteurs côté droit pour éviter le drame et l'asphyxie. Puis, côté gauche, on dévisse et déboîte le culbuteur fautif On met dans l'emplacement de la tige la longue canule d'une soufflette Et pschiiiiittt le poussoir, 7 bars dans ta goule ça t'apprendra On remonte tout, on démarre, miracle Ensuite, réglage final. Pour chaque cylindre, on place le piston au PMH fin de compression pour libérer les culbuteurs, puis on visse jusqu'à ne plus avoir de jeu. Ensuite (sur ces moteurs) on ajoute 3/4 de tour pour comprimer un peu le poussoir. Pour faciliter la chose, on trace sur le damper 4 repères à 90° (1, 2, 3, 4, le 1 étant le repère 0°) et on fait 8 quarts de tour (2 tours complets), en réglant à chaque quart de tour les culbuteurs d'un cylindre , dans l'ordre d'allumage. Une fois tout ça fini, on redémonte tout ce qui est sur la pipe d'admission ou autour (carbu, allumeur...) et on dégraisse pour peindre Sur l'insistance de l'ami José qui passait par là, les cache-culbuteurs y passent aussi, après décapage à la brosse et dégraissage. Ici après remontage quasi final. Après quelques opérations complémentaires (quelques tuyaux, niveau d'huile de boîte, réglage de tringlerie...), petit tour du quartier pour vérifier que tout va bien, à part l'énorme fumée de l'huile qui finit de se carboniser sur les collecteurs d'échappement. Restera à remonter les barres rigidificatrices (4 vis chacune, ça devrait aller) et le capot (4 vis aussi, mais pas possible à faire tout seul). Ce sera jeudi, car j'ai aussi un boulot, du genre où les devoirs de vacances ne sont pas très compatibles avec des journées ininterrompues de mécanique. A vous les studios
    1 point
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