Phil

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  1. Phil

    Ford Ltd Wagon 1978

    Tu as changé les flexibles ? Et rincé le circuit à l'alcool ?
  2. Phil

    Ford Ltd Wagon 1978

    Par-dessus les soudures, tu as mis du chatterton ou de la gaine thermo ? Tu comptes monter le circuit sur relais ? Ah oui, entre les dominos et les cosses à trois balles la douzaine... Là aussi, tout remplacé par de la soudure protégée comilfo ?
  3. Phil

    Coupure

    Bienvenue à toi Dans la mesure où 90% des problèmes d'allumage sont des problèmes de carburation (et inversement), comment es-tu sûr que le problème vient de l'injection ? Dans tous les cas, ça peut être un bête fil de cuivre quelque part dans le circuit de 30 ans d'âge qui a décidé de faire contact quand il veut. Et là, tu est dans le KK. Et les gens ici quand à comprend pas bien, de temps en temps à va répondre à questions, ou quand à en a saoulé de se fatiguer les chtits nyeux à te lire, à va te laisser dans ton KK. Donc, pour conserver à ce lieu la totale félicité qui le caractérise, merci de faire l'effort de t'exprimer de façon à être compris.
  4. Il existe bêtement des petits "peignes" faits pour en plastique, d'utilisation assez souple (ne pas oublier que pour faire quoi que ce soit il faut les dégager du chemin, et là on se maudit d'avoir pris un truc hi-perf chromé qu'il faut dévisser et sur lequel on s'écorche les phalanges dès qu'on met les doigts quelque part) : En vente pour 3 francs 6 sous chez tous les spécialistes en autos US, sur eBay etc. "spark plug wire separator"
  5. Tant que le carter est dévissé, autant le sortir, pour le nettoyer de toute la mr2 collée au fond après 40 ans. A priori, dégager la barre de direction aide bien, sans avoir à refaire de réglage de parallélisme : seulement déposer la barre côté biellette du boîtier de direction ("ptiman arm" avec un détrompeur) et côté renvoi ("idler arm") fixé au châssis. Elle tombe d'une grosse dizaine de cm ce qui suffit à donner de la place. Peut-être aussi (selon les modèles) tomber la traverse en tube entre les longerons, éventuellement la barre anti-roulis ("sway bar" ou "stabilizer bar", mais en général elle est en avant du moteur) et réhausser le moteur au cric (et le caler) éventuellement en déboulonnant les supports ce qui permet de voir leur vrai état : un silentbloc fendu dans toute sa largeur, ça ne se voit pas à l'oeil quand tout est en place.
  6. Phil

    Fin des E-series ?

    Parce que Ford n'est pas un grand groupe ? Plutôt parce que le segment des vans est en déclin, au profit (1) des "minivans" (nos monospaces) pour les familles. (2) des fourgonnettes au format européen/japonais qui sont devenues très confortables dans les années 80-90 (entre un Peugeot J5 et un Toyota Hiace, ya pas photo) (3) des "campers" (nos camping cars, mais au format autobus de 10 tonnes) Les baby-boomers qui ont passé leur jeune âge à sillonner les US en van (ah Scooby-Doo et l'Agence Tous Risques ) sont devenus vieux, ils leur préfèrent les (1) pour trimballer les petits-enfants s'ils sont radins sur l'essence, et les (3) s'ils sont riches et ont compris qu'un V8 doit servir à quelque chose.
  7. Il y a le moyeu, le damper et la/les poulie(s). Ce n'est pas comme si on l'avait déjà expliqué
  8. Sur un 289 ça sort tout seul (sans extracteur) une fois dévissée la vis centrale. Il doit en être de même sur un 351W.
  9. A priori, ordre "en croix" comme une roue. Surtout, en plusieurs passes, en suivant scrupuleusement la règle empirique établie par moi-même : (1) au contact (2) au couple maxi que tu peux faire avec une douille radio (carré 1/4") au bout d'un tournevis tenu à une seule main. (3) au couple maxi que tu peux faire en faisant tourner le bout de la clé de 10 (ou de 3/8" ou de 7/16" ou du cliquet radio) avec le petit doigt. Chuck Norris fait les étapes (2) et (3) en même temps, en tournant le tournevis avec le petit doigt, mais c'est Chuck Norris .
  10. Bumper filler.
  11. ça va lui prendre du temps facturé en MO qualifiée pour du boulot pas spécialement qualifié. Sans compter que si quelque chose pète au démontage ou au remontage (ce qui est plus que possible sur une ancienne), si c'est toi qui l'as fait tu sauras à qui t'en prendre. Si c'est le carrossier, soit tu t'embrouilles avec lui, soit il essaie de mettre la poussière sous le tapis et tu t'embrouilles avec lui quand même. aussi. Sur les portières, la rouille vient de l'intérieur (eau de pluie ou de lavage qui ne s'évacue pas). Elle n'atteint la peinture qu'une fois fini de bouffer la tôle qui est dessous. Pas cher du tout s'il y a un démontage de tout et une préparation carrosserie correcte . Pour un masquage et pistolage sur l'ancienne peinture juste poncée, c'est un autre air.
  12. C'est bon, j'ai une explication, tirée d'une brochure Lincoln 1980 : Les "premium bodyside mouldings" (moulures de côté de caisse) étaient optionnelles sur les Continental, y compris celles en finition Town Car. Evidemment, celles en photo sur la brochure en étaient toutes dotées . En ajouter, c'est faisable mais pas d'origine . Je pense que celles d'origine étaient fixées par clips (donc il faut faire des trous), et peut-être pas compatibles aux extrémités avec tes arches de roues pas faites pour. Sans compter la difficulté à en trouver en bon état et à les faire venir. Si vraiment tu en veux pour l'esthétique, je suggère des autocollantes vendues au mètre en rouleau (centres auto, eBay ?), en te renseignant avant chez un peintre pour savoir quel produit utiliser (acétone ? diluant cellulosique ? acide sulfurique ? ) pour diluer les traces de colle sans fumer la peinture le jour où tu voudras les enlever.
  13. Les années 1979-81 sont des années-charnières chez Lincoln, avec l'abandon du big block en 79, la réduction importante de taille des châssis et le remplacement du 400 par le 351 en 1980, puis l'abandon de ce dernier en 1981 pour laisser le seul small block 302. Surtout, l'arrêt de production de la Versailles (concurrente de la Cadillac Seville) en milieu d'année-modèle 1980 laisse une gamme incomplète, avec seulement la Continental et la Mark VI, déclinées toutes deux en coupé et berline (alors que la Mark V existait seulement en coupé). Il est possible que la gamme ait été refondue en milieu d'année, ce qui n'apparaît pas sur les brochures, imprimées avant le lancement des modèles. Et donc quelques différences dans les finitions. Sans compter le fait que le badge "Town Car" ait pu être ajouté ensuite sur ta voiture : jusqu'en 1981, la Town Car n'était pas un modèle à part, seulement une finition optionnelle des Continental, sans identification possible à partir du VIN.
  14. Zavez de drôles de conversations vous
  15. Je comprends bien que c'est l'assurance du véhicule qui règle au réparateur la facture des dégâts sur le véhicule. C'est effectivement plus simple en pratique. Mais si, en termes de responsabilité, les dégâts sont causés par quelqu'un d'autre, l'assurance se fait bien rembourser par cet autre (par son assureur s'il est assuré), non ? Sinon, à quoi sert une assurance "responsabilité civile" si ce n'est pas elle qui paie in fine pour ce dont je suis responsable ?
  16. Il y a là-dedans un truc qui m'échappe : si je roule à vélo / en skateboard / en trottinette et qu'une voiture me percute et abîme mon engin, qui va payer les dégâts (puisque mon engin n'a pas d'assurance) ?
  17. Non. Si le type te rentre dedans, c'est SON assurance qui paie. Que tu aies bu ou pas, que tu aies le permis ou pas, que tu aies le CT ou pas, elle paiera comme elle paiera s'il a renversé un piéton. Si c'est toi qui lui rentres dedans, il faut juste se demander si ce n'est pas la faute du verre de trop... Quant à l'argument "ils se gavent", j'ai toujours été assuré avec des mutuelles. Elles sont sans but lucratif, donc les cotisations couvrent les sinistres et les frais de fonctionnement. Pas des dividendes à verser à des actionnaires. Jusqu'à présent, j'ai toujours payé bien plus que je n'ai reçu, et je ne m'en plains pas : que ceux qui veulent se faire offrir quelques mois d'hôpital et un fauteuil roulant lèvent la main.
  18. Ce n'est pas pour ça qu'il va changer, puisqu'actuellement le FGA récupère - au moins en partie - les sommes déboursées. En revanche, ça devrait (un peu) améliorer la sécurité : beaucoup de ceux qui ne paient pas leur assurance (et qui vont se faire étriller) sont ceux qui n'ont pas (ou plus) le permis, les rebelles aux conventions (assurances, feux, priorités, passages piétons...) et autres récidivistes de la conduite à 3 grammes. Pas de pitié pour ces c*ns-là qu'ils aillent à pied ou à vélo, ça leur fera les jambes. Sans carrosserie autour d'eux, Darwin fera le reste. Même si je suis d'accord avec le fond, ton raisonnement ne se tient pas : si ta femme se fait renverser par un type bien propre sur lui et en règle avec tous ses papiers, tu dis quoi ? Le même raisonnement m*rdique est tenu depuis des lustres sous la forme puante "et quand un Rital / un Espingouin / un Portos / un Arabe te piquera ton boulot ?" ben je serai ni plus ni moins dans le KK que si c'est un Chti ou un Berrichon .
  19. Phil

    An American Odyssey

    Reçu aujourd'hui "An American Odyssey" de Marc Walter et Sabine Arqué (des Français, cocorico) paru chez l'éditeur allemand Taschen. Le sujet ? Les Etats-Unis au tournant du 20ème Siècle (en gros, 1880-1910), en images et en couleurs. Bon, le premier "vrai" procédé de prise de vues en couleurs est l'autochrome des frères Lumière en 1903. Mais on ne les a pas attendus pour coloriser du noir et blanc. Ce livre fait la part belle au "photochrome", un brevet suisse qui permet d'imprimer par lithographie des noirs et blanc colorisés, éventuellement à des milliers d'exemplaires. Procédé répandu sur le Nouveau Continent par la Detroit Publishing Co, sous forme de tirages et surtout de petits livrets et de cartes postales. Ce livre comporte un mélange de reproductions de cartes en petit format (la qualité était médiocre) mais surtout de photochromes et de plaques de verre originales, dont l'auteur est collectionneur. Et là, c'est du vrai grand format, 30x45 cm environ, en format "pavé" (600 pages, plus de 6 kilos) : du Kolossal comme les bons Teutons de chez Taschen savent bien le faire . On parcourt donc le pays d'Est en Ouest en commençant par New York City, la côte Est (y compris le Québec), les Grands Lacs, le Sud, jusqu'aux Rocheuses et à la Californie. C'était l'époque où il n'y avait pas de voitures ou presque, mais beaucoup de chevaux et de mulets dont la vie n'avait rien d'un centre d'équitation bobo. Où le Sud sortait de la Guerre de Sécession mais devait rester ségrégationniste plus d'un demi-siècle. Où la "Frontière" du Wild West venait de disparaître, et où l'on tirait le portrait des derniers Indiens Seminoles et Iroquois qui portaient des vestes de peau tous les jours. Où les beaux quartiers du sud de Manhattan côtoyaient les taudis les plus sordides avant que Roosevelt (Theodore, pas F.D.) ne devienne maire de la ville. Où les seuls à connaître les vraies couleurs du Grand Canyon étaient des topographes, le reste du monde devant se conteneter de leurs clichés en noir et blanc. Où la population de Chicago est passée de 200.000 à 2 millions d'habitants en 30 ans. Où l'on fumait de l'opium dans les sous-sols des Chinatown des grandes villes. Où l'Arizona et le Nouveau-Mexique n'avaient pas encore rejoint l'Union (ils ne le feront qu'en 1912). Où le chemin de fer à vapeur bouleversait les échanges, jusque-là dominés par le trafic fluvial à aubes sur le Mississippi, la Santa Fe, l'Ohio et le Saint-Laurent. Où les photographes devaient avoir un mulet rien que pour porter leur matériel. Où il arrivait près d'un million de personnes chaque année à Ellis Island et autres points d'entrée. Bref, un grand moment pour rêver. Comme souvent chez Taschen, le texte est trilingue (anglais/allemand/français) mais il est de toute façon peu abondant, la part belle étant faite aux images. Même avec plus de 600 pages sur papier bien épais, et même dans ce format et avec cette qualité, à 150€ tarif catalogue c'est un peu cher. Mais en fouinant et/ou en patientant un peu chez les gros vendeurs du Net, on peut le trouver pour un prix à 2 chiffres, et là ça vaut le coup, parole de Phil .
  20. Tout le monde sait ça, il n'empêche que beaucoup roulent sans (pas ici j'espère, mais on ne sait jamais avec ce nid de rebelles en carton ). Depuis le 1er janvier, le FVA (fichier des véhicules assurés) est accessible en live aux képis, qui peuvent coller une prune salée (400€) en cas d'absence d'assurance ou de papier bidon présenté à un contrôle. Mieux, les radars automatiques (enfin ceux qui restent ) feront de même : excès de vitesse, feu grillé ? Voilà deux amendes pour le prix d'une. Et en cas de récidive, c'est du pénal : jusqu'à 7500€ d'amende, retrait du permis, confiscation du véhicule... 7% des accidents mortels impliquent un véhicule non assuré (c'est énorme). Les victimes sont indemnisées par le FGA (fonds de garantie des assurances), qui se retourne contre le conducteur responsable, avec souvent des sommes conséquentes en jeu : un fauteuil roulant à vie, un emprunt immobilier impossible à rembourser, ça se paye cher. Vérifiez quand même que le numéro d'immatriculation sur votre carte verte est bien celui de votre voiture et des plaques posées dessus Source : mag de la Mutuelle des Motards.
  21. La W90 c'est plutôt pour les boîtes (manuelles), la W140 pour les ponts. Mais les deux vont dans les deux .
  22. La question n'est pas stupide, certaines boîtes Ford de cette époque utilisent de l'ATF "type A" ou "type F". Mais pas de problème pour ta Dynaflow avec la Dexron II ou III. Pour le pont, l'important est de savoir s'il est autobloquant ou pas.
  23. Les manuels du conducteur de mes Mustang (1966 et 1973) préconisent entre 5W30 et 20W40 suivant la température ambiante et l'utilisation, mais pas 20W50. Peut-être les GM avaient-elles des jeux de fonctionnement plus importants que les Ford . De mémoire, la 20W50 était l'huile moteur la plus épaisse qu'on trouvait dans les années 70-80. Elle est de plus en plus difficile à trouver en supermarché/centre auto. La remplacer par de la 15W40 simplifie la vie, en réservant l'usage de grades plus élevés aux moteurs rincés.
  24. Boîte et direction assistée : huile de boîte auto, Dexron II. Pour savoir si le pont est autobloquant, lever les deux roues AR et tourner une des roues à la main. Si l'autre tourne dans le même sens, mont autobloquant. Si elle tourne dans l'autre sens, pont non autobloquant. Ce n'est pas comme si on en avait déjà parlé