amoniac

En photo ça donne ça 

Merci “Amoniac” pour ton appréciation.
Celle-çi, vendue, j'ai mis à peu près 25 à 30 heures, réparties sur 3 semaines/un mois.
 
Toutes mes autres toiles sont là : 
https://www.kazoart.com/fr/artiste-contemporain/2039-christian-lucas

Hello ! 
Voilà mon p'tit dernier, en 100X100.
Avec Mum, Karen, et Billybob qui prennent la pose, parés contre les aliens, bolcheviques, ou autres pangolins....
 
[url=https://servimg.com/view/11592426/10552][img]https://i.servimg.com/u/f97/11/59/24/26/pandem10.jpg[/img][/url]

Merci. Tiens. ma toute dernière 80X80 :
“ Simca toujours en course”

De mon ex-Buick, je ne garde que des bons souvenirs, notamment de belles balades avec ma femme à son volant.
Voici donc ma dernière toile, acrylique 60X80, d'après une photo faite en 2014....

Allez hop. fini. Je pose les pinceaux.
D'après une photo de 2001 où je bricolais mon carbu Rochester sur la Bel Air.
Acrylique sur bois, 60X80

Allez, la petite dernière : “PARIS MAI 1970”
Au 15 du quai Montebello en mai 1970, sous l'indifférence des pressés automobilistes, les rideaux tombent avant de sombrer sous les gravats des démolisseurs....
Acrylique sur toile 80X80.

on en parle d'autant plus en ce moment que le prix du pétrole est à la hausse. 
De ce que je crois avoir compris, il y a un nombre considérable de paramètres qu'il faut prendre en compte. 
Son pouvoir calorifique inférieur (PCI) est de 21200 kJ/l contre 31800 pour l'essence. L'essence est donc 1,5 fois plus calorifique que l'éthanol. L'E85 a donc un pouvoir calorifique de 22790 kJ/l (15%.31800+85%.21200). L'essence est donc 1,40 (RPCI) fois plus calorifique que l'E85.
Son rapport stoechiométrique (RS) est de 9 contre 14,6 pour l'essence. Celui de l'E85 est donc d'environ 9,8.
Le RS de l'essence est donc 1,48 (RRS) fois plus élevé que celui de l'E85.
Le RRS étant de 1,48, il "suffit" d'injecter 1,48 fois plus de carburant pour faire fonctionner une voiture essence à l'E85.
Le RPCI étant très proche du RRS, la puissance du moteur n'est pas trop modifiée. La puissance en E85 est même théoriquement légèrement supérieure d'environ 5% (RRS/RPCI-1) à quantité d'air égal.
Dans tous les cas, il faudra imaginer que la vaporisation d'un litre d'alcool est plus lente que celle de l'essence; on doit alors rajouter de l'avance à l'allumage, et pas qu'un peu: on parle de 6 à 8 degrés sur toute la courbe. 
Sur un moteur injecté, il faut injecter environ 40% de carburant en plus. Pour cela, soit on joue sur le débit / la taille de l'injecteur, soit on va rallonger la durée d'injection. C'est d'ailleurs ce que font les boîtiers qui fleurissent partout en ce moment, qui "trichent" sur les valeurs transmises à l'ECM d'origine de la voiture, rallongent le temps d'injection et rajoutent de l'avance à l'allumage. C'est pour cela que les mélanges sur une voiture pas prévue pour ne fonctionnent pas: le calculateur est "hors limites" . Et aussi à cause du fait que le produit de la combustion qui est lu par la sonde lambda ne correspond pas aux valeurs nominales, et souvent, le calculateur se met en mode secours ou en mode "essaie de comprendre": ça marche, mais mal, ça démarre mal à chaud, souvent sans allumer le SES. Pour comprendre le fonctionnement, voir les excellentes vidéos (un peu longues, quand même😉) faites par @Eagle1_77  
Sur un moteur à carbu, c'est différent: on ne peut rien faire croire à un carbu. Il fait son effet venturi en fonction de la dépression qu'il sent en dessous, et cette dépression ne varie pas avec le carburant utilisé, ou très peu.   
Et donc, en théorie, il suffit de trouver un carbu spécifique éthanol, à mon avis, c'est même mieux d'en acheter un plutôt que de modifier l'existant. Les carbus spécifiques ont des joints qui vont bien, et parfois sont fait dans des matériaux faits pour.
Ensuite, et c'est là que ça commence, à partir des réglages oem, et du fait du RS moins favorable, augmenter la taille des gicleurs d'environ 40/45%, et normalement, roule Nènesse. Sans oublier que le poids spécifique de l'alcool (additivé à 15% de pétrole, au fait, d'où le E85 et pas E100) est différent de celui de l'essence. Il faudra donc sans doute penser à modifier le poids des flotteurs des cuves, ou sinon, on va avoir un problème d'alimentation. Et franchement, pour ceux qui ont des carbus à pointeaux, genre Q-jet ou AFB/Edelbrock, je ne sais pas quoi dire. Je ne sais pas à quoi ressemble un pointeau "plus gros". 
Ensuite, se souvenir que le rapport de compression d'un moteur fait pour l'essence sera lui aussi moins favorable à l'E85. Ou plutôt, le taux d'octane du E85 est d'environ 100/105, et les propriétés "refroidissantes" de l'alcool la rapprochent plutôt des 110. Pour tirer avantage de cette propriété, il faudrait créer un moteur à taux de compression très élevé, d'environ 15:1, à rapprocher des environ 9:1 d'un moteur de tourisme à essence.  D'une manière générale, les Américains qui courent en Top Alcohol font des moteurs dont le taux de compression statique est compris entre 15 et 17, qui monte à plus de 25 en dynamique lorsqu'on rajoute un compresseur. Certains dragsters alcool n'ont d'ailleurs même pas de système de refroidissement. C'est aussi pour cela que les puissances atteintes par les moteurs de compétition à l'alcool sont colossales, mais au prix d'une consommation de carburant très importante.
En bref: injection: OK, mais pour faire comme il faut, il faut une reprog ou un boîtier (et dans certains cas, un jeu d'injecteurs appropriés, parfois un jeu de bougies plus chaudes), carbu: faut voir, mais il y a du travail, et la réversibilité n'est pas immédiate. Le jour où on n'aura vraiment plus aucune solution, je me pencherai peut-être sur un small-block de 400 pouces, avec un CR de 14 ou 15, avec un carbu qui va bien ou une injection. Mais au stade d'aujourd'hui, je ne suis pas sur de l'intérêt. Ce dont je suis sur, c'est que les tentatives de mélange et d'un plein d'alcool pour un plein de 95, et ce genre de cuisine, sont plutôt du domaine de l'épicerie albanaise (et encore une fois, ça ne marche pas si ce n'est pas flex-fuel d'origine). Et que je préfère ne pas rouler plutôt que de faire des bornes avec une voiture qui tourne comme un galet niçois, et qui ne me donne plus de plaisir. Bien sur , ça ne vaut pas dire que beaucoup de gens ne sont pas en train d'essayer. Le garagiste en bas de chez moi a déjà des clients en panne à cause de ça.  Comedabe: y'en a qui ont essayé, y z'ont eu des problèmes!

Hello ,
Je pense qu'il est possible de trouver de bons réglages pour l'éthanol sur un moteur a carburateur  .
Dans la famille , nous avons roulé durant 1 an avec ce carburant a titre de test pour un Pétrolier de 1977 à 1978 .
Ma Maman travaillait alors au siège Français de la British Pétroleum , et la société a fait appel à candidatures parmi le personnel pour tester ce carburant en développement.
Ils lui avaient donné un nom de projet ,je me souviens plus lequel; Il y avait un protocole proposé très strict (une seule pompe dédiée délivrait le carburant sur le lieu de travail ,il fallait un véhicule très récent et faire un minimum de km .Le carburant serait gratuit et toute panne mécanique serait couverte par la compagnie)
Le dossier de ma Maman a été validé parmi d'autres collègues .
Elle avait alors une Ford Fiesta (les toutes premières  ), quasi-neuve , 950 cm3 a carburateur et vis platinées  ,et qui lui servait essentiellement pour ses trajets travail (2x 40 km /jour dont bcp d'autoroute) .
Elle a dû déposer sa Ford auprès d'un atelier supervisé par des techniciens de la compagnie pour "recevoir les modifications nécessaires " pour rouler avec ce carburant (Gratuit , une sacré aubaine !!)
 
Bien sûr quand elle est rentrée du travail après la modif , mon père et moi on s'est jetés  sur la Ford pour voir "les modifs"  .Absolument rien de visible , pas d'équipement en plus : de toute évidence que du réglage (avance sûrement , indice des bougies , et taille gicleurs on pense aussi ) .Par contre nous étions certains que le taux de compression n'a pas pu être touché (par l'épaisseur du joint de culasse par exemple ) car la voiture est restée 3 heures en atelier , or le petit bloc Ford dessus était en fonte avec culasse aluminium ,donc interdiction de déculasser avant 6 heures de refroidissement total .
 
De mon souvenir , la Fiesta (que j'utilisais aussi à l'occasion ,carburant gratos !!) fonctionnait très bien et zero problème .La conso , on calculait pas ,ma Maman n'avait qu'à se présenter à la pompe dédiée pour remplir aussi souvent  que nécessaire !!😀
A la fin du test la Ford a été remise en config d'origine pour repasser à l'essence.
Le moteur n'a pas souffert de ce test , la Fiesta est restée encore très longtemps dans la famille ,la rouille en a eu raison mais le moteur tournait encore nickel .
 
Pour nous ,ce carburant était donc déjà à l'époque parfaitement au point pour des véhicules du moment 

Difficile de trouver l’inspiration. Que dire, quand on a vécu 8 ans d’amour-haine avec un bout de métal à qui on prête volontiers une âme. Que dire, quand on s’en sépare, qu’on voit partir son travail, son argent, mais aussi ses histoires.
 
Il n’y a en fait pas grand-chose à dire.

Les histoires seront toujours dans ma mémoire. Dans nos mémoires.

Mes amis s’en rappelleront, de ce type un peu barge qui arrivait dans une américaine pourrie sur le campus, permis en poche depuis 3 mois. Ils s’en rappelleront encore, de l’incendie qui a coûté un manteau à mon pote sur un parking de restaurant. Ils s’en rappelleront aussi, de l’arrivée magistrale en boite de nuit, tous en costumes, chaussures cirées, sortis tels de diables à ressorts de cette boite à chaussure qui faisait un bruit de police. Des histoires d’amour y sont nées, d’autres y ont fini. D’autres, même, y ont vomi…

Et que dire de @Sérina, qui ne m’a connu qu’un an plus tôt, un an tout juste avant que tout bascule. Un an avant qu’elle eut à me partager entre elle et ma passion. Entre crises de nerfs, jalousie et bonheur au volant. Pour qu’elle finisse contaminée… Ça en fait, des montagnes russes émotionnelles.

Alors se dire qu’on laisse partir tout ça, c’est vrai que ça fait quelque chose.

Cependant, il y a un temps pour tout. J’ai pu constater dans ma vie de vrais changements. De job, je maison, de condition. Je ne suis plus seulement l’étudiant allumé qui a redoublé sa première année à cause de son appétit pour la vie. Je suis passé CSP+, alors j’ai acheté une voiture de CSP+…

Et elle, dans tout ça ? Je la laisse partir avec le sentiment d’une mission accomplie. Je l’ai remise en route, pour longtemps, elle, modèle mal-aimée, décriée, montrée du doigt pour sa faible cylindrée et son charisme de pelleteuse. Rien ne manque, tout fonctionne, le moindre détail a été corrigé. Je me suis assuré de la fiabilité de son futur propriétaire, et de l’avenir : une voiture complète en pièces détachée, pour être certain qu’en cas de carton, personne n’ose la mettre en casse.

Et elle, encore? Eh bien, elle, peut également partir avec le sentiment d’une mission accomplie, tout autant que je le suis : elle a fait de moi ce que je suis. Persévérant, motivé, colérique, pessimiste, inquiet, débrouillard ne sont qu’une partie des adjectifs. Elle a rétabli un dialogue, entre mon père et moi, au point mort depuis tant d’années. A été le ciment de notre relation amoureuse avec Sérina. Mais surtout, elle m’a fait rencontrer tellement de monde. Tellement de bonheur avec d’autres humains. Et elle m’a fait vous rencontrer, vous, qui avez suivi ce sujet depuis si longtemps, qui avez prouvé à quel point votre cœur était grand, et attaché à elle, autant qu’à moi, j’ose le croire.

Je n’ai plus rien à apporter à cette voiture. Nous nous connaissons trop bien. C’est donc sans crainte aucune, mais avec espoir, bonheur, et assurance, que je passe la main. Pour que quelqu’un d’autre puisse se fabriquer des souvenirs avec toi, mon Oldsmobile. Pour que tu continues à exister, à travers d’autres yeux que ceux de celui qui t’a aimée et t’aime encore.
 
Je te souhaite un bon voyage pour tes prochains 100.000 miles… on se reverra, j’en suis certain.

Et appelle de temps en temps.
 
Ton ex-propriétaire,
 
The Lion King.
 

cette auto à une histoire pas banale, elle à été sauvée par Laurent alias Lolo, qui malheureusement nous à quitté, c'est d'ailleurs son post d'origine
et moi je ne fait que poursuivre l'aventure, sur les 3/4 premières pages du post les photos on disparues, mais après tu à toute l'histoire en image. bonne lecture à toi

Hin hin hin... t'as pas encore trouvé le fil d'une certaine Oldsmobile...  

Oui en Californie, je me suis fait la remarque en postant, mais je ne sais plus si la photo date d'après nos premiers échanges ou avant.
Concernant le shipping, si mes souvenirs sont bons, on était entre 2000 et 4000 $ au total (j'avais eu le détail après coup).
Enfin, pour la durite, merci pour l'info. Aujourd'hui, le compartiment moteur ne ressemble plus du tout à cela. Je posterai de nouvelles photos bientôt avec quelques explications. Il s'est passé deux trois trucs depuis 2018.

Février 2018 : Un weekend en Savoie
 
Comme je l’ai déjà expliqué dans mes autres articles, la Mustang est maintenant au garage mais il y a du boulot ! L’ami Scal m’avait proposé d’aller le voir pour faire un checkup complet de la voiture et faire les deux trois bricoles les plus urgentes. J’ai donc bien sûr accepté avec grand plaisir l’invitation à passer un weekend en Savoie pour mettre les mains dans le cambouis !
 
Le trajet allé
 
A 6h du matin, le démarrage est difficile (une dizaine de minutes pour stabiliser le ralenti) mais une fois lancée, je prends la direction de la Savoie. Par chance, il ne pleut pas encore lorsque je pars mais il fait nuit (les ampoules du tableau de bord ne fonctionnent pas). Je rejoins assez rapidement le centre commercial Chamnord où j’ai donné rendez-vous à Aymeric, qui m’accompagnera jusqu’à chez Scal avec sa Mustang GT 2006. Il commence alors à pleuvoir et la circulation se fait de plus en plus dense. Aymeric m’ayant retrouvé, nous finissons ainsi la route en duo et dans les bouchons. Ce sont deux Mustang, quarante ans d’écart, qui sont admirées par bon nombre de touristes qui rejoignent les pistes.
 
La mécanique
 
A peine sorti de l’autoroute, Scal nous retrouve rapidement. Pas le temps de discuter, on rejoint immédiatement le garage. On a du pain sur la planche et nous ne sommes pas en avance. Le temps de me garer devant le garage, de couper le moteur, et la Mustang refuse désormais de démarrer. Elle a avalé presque 250 kilomètres sans broncher toutefois, arrivée, elle s’éteint simplement ! On la rentre donc en la poussant. Il est désormais temps de passer aux choses sérieuses !
On enfile alors les gants, sortons les différents fluides, outils et accessoires du coffre et nous mettons au travail. Les bougies, les joints de caches culbuteurs, le solénoïde, le démarreur et les câbles de batterie sont aussitôt remplacés. Également, les fluides sont renouvelées et une fuite d’air au niveau du carburateur est colmatée. Cette dernière était effectivement responsable des difficultés de démarrage à froid. L’alignement du capot moteur est ajusté.
 
Nouvelles désillusions
 
La deuxième journée, nous nous intéressons au réglage de la portière passager, bloquée. Il s’avère que la vitre est mal ajustée, et pour cause : plusieurs éléments sont cassés.
 
Par ailleurs, sur l’autoroute, quelque chose m’a semblé étrange : impossible de passer la cinquième vitesse. Pourtant, je me souviens bien du titre de l’annonce sur Craigslist qui spécifiait « V8 5 SPEED TREMEC C CODE SAN JOSE CAR! P/S!« . OK, la direction assistée n’a rien d’assistée (du moins pour tourner à gauche) mais ils connaissent leur job, ça ne peut pas ne pas être une TREMEC 5… Eh bien si ! Il s’agit en fait d’une boîte Top Loader 4 vitesses (ou pas). C’est ce qui s’appelle se faire prendre pour un pigeon…
 
Le trajet retour
 
Le dimanche après-midi, après ce bon weekend mécanique en Savoie, Aymeric et moi remercions Scal et repartons. Direction le centre commercial Chamnord, où nos routes se séparent. Les deux Mustang promettent de se retrouver bientôt :). Le retour se fait dans de bonnes conditions et le V8 respire ainsi beaucoup mieux qu’auparavant. C’est un réel plaisir de conduire, mais il faudra résoudre une petite fuite d’air au niveau du bouclier thermique !
 
Bilan :
-> nouveau filtre à huile (Motorcraft FL-1A)
-> vidange huile de pont (Huile de pont Castrol - EP140 - 3*1L), huile moteur (MOTUL - Multigrade 2000 SAE 20W50), liquide de refroidissement
-> remplacement du démarreur (MR GASKET CO 51322ZG)
-> remplacement du solénoïde (SCOTT DRAKE B6AZ-11450-A)
-> remplacement des câbles de batterie (sur mesure DriftShop)
-> remplacement des joints de cache culbuteurs (SCOTT DRAKE C2OZ-6584-AR)
-> remplacement des 8 bougies (NGK UR5 V-Power)
-> changement du volant (Reproduction Black Steering Wheel with Horn Ring)
 

Merci à toi Sébastien !
Effectivement, il faut que je m'habitue, mais c'est vrai que sur téléphone, par exemple, c'est très agréable.
 
 
Merci TLK, effectivement c'est un risque que je ne mesurais pas à sa juste valeur.
À ce jour, j'ai démonté la voiture à peu près entièrement et j'ai changé strictement toutes les pièces sous le capot, tout le câblage électrique et l'ensemble des suspensions (vous vous en rendez compte dans la suite des posts). Il me reste la boîte qui n'a pas été remplacée, le pont, le réservoir à essence et je crois que c'est tout . Quand elle reviendra de chez le mécano où elle est actuellement, le gros point noir, ça restera la peinture (et un peu de carrosserie avec l'antenne arrachée), mais je compte bien en profiter avant !!
 
 
Oh que oui Pat !! Je ne vais pas te mentir, il est souvent resté au fond des chaussettes, mais j'espère que c'est derrière désormais 

Il faut un sacré moral dis-donc

Belle histoire, bien détaillée. C'est toujours le risque avec les imports, surtout avec une mustang, juste "la" voiture que tout le monde veut et que tout le monde a. Donc les vendeurs n'ont aucun scrupules à vendre de la merde... difficile d'avoir confiance à 3000 kms de là!
 
Bon courage avec ce que tu n'as pas encore découvert! Profite en un peu avant de devoir plonger sous les problèmes (même si je ne te le souhaite pas)  

Voila une belle histoire bien détaillé !  , il y a souvent des surprises quand on achète une voiture sans la voir , mais elle semble quand même en très bon état et l'intérieur est en très bon état aussi  .
Pour les photos en miniature , au contraire je préfère personnellement quand elles sont grande , on y voit mieux  .
Bon courage pour la suite des travaux et je te souhaite que du plaisir a son volant !  

Février 2018 : Premier trajet… mitigé
 
Suite à l’attente insoutenable survenue ces dernières semaines, je reçois finalement un message m’indiquant que la Mustang est prête ! Nous sommes le vendredi 2 février et je conviens avec mon transitaire qu’il me l’apportera dimanche. Bien que la joie soit au rendez-vous et que je sois toujours aussi impatient, je reste dubitatif sur l’état de la voiture. En effet, je ne l’ai encore jamais conduite et, jusqu’ici, j’ai eu mon lot de surprises… Voyons dans ce nouveau billet ce que ce premier trajet nous réserve !
 
Plus tôt que prévu… si on veut
 
Pour rappel, j’ai payé la voiture le 9 septembre 2017 et cela fait un certain temps que je l’attends. Toutefois, si Arnaud et moi avions convenu d’une livraison le dimanche, nous échangeons le vendredi au sujet d’une livraison le jour-même. Si ce n’est pas finalement pas faisable, nous parvenons à tomber d’accord sur le lendemain. J’irai donc chercher la voiture, accompagné par Flavien, mon beau-frère.
Très excité, la nuit est agitée. Mais ce n’est pas pour la raison que vous imaginez ! Non, c’est ma fille de sept mois qui fait une nuit difficile…
 
C’est la panne sèche !
 
Flavien et moi-même arrivons un peu plus tôt que prévu. Nous nous rendons au lieu indiqué par Arnaud et le retrouvons. La belle est là, elle brille sous les rayons d’un soleil timide mais bien présent. Sa carrosserie, que j’avais trouvé fade jusqu’alors (à chaque fois que je l’avais vu, le temps était particulièrement ombragé), laisse apparaitre ses différentes qualités ! Je suis content de mon achat, reste à démarrer la bête…
 
C’est Arnaud qui s’y colle. La voiture est garée dans un emplacement étroit et je ne la connais pas encore. Il ne parvient toutefois pas à lancer le moteur. Et pour cause : il en reste pas une goutte d’essence… C’est ennuyeux. Nous voilà, Flavien et moi, partis un jerricane à la main, chercher une dizaine de litres d’essence à la station d’à côté. Par chance, elle se trouve à une petite centaine de mètres de la voiture.
 
L’essence injectée dans la belle, elle refuse toujours de démarrer. Cette fois-ci, elle cale. Tant qu’elle n’est pas chaude, il faut insister un peu. Bon… Finalement, un clac se fait entendre lorsque l’on tourne la clé. OK, ce sont les charbons du démarreur qui sont collés. Nous voilà maintenant à taper dessus pour les décoller.
 
C’est parti !!
 
C’est finalement une bonne heure et demi après être arrivé que je me place enfin derrière le volant. La direction assistée n’est pas si assistée et mon premier virage est catastrophique. J’ai l’impression que l’angle de la direction est bien plus étroit que sur une auto plus récente. Bref, nous retournons chercher de l’essence et, après de difficiles manoeuvres sur le parking du centre commerciale adjacent à la station, nous voilà enfin sur les routes.
 
Je tiens mes distances avec la Renault Mégane de Flavien. Je suis inquiet de caler et de ne pas pouvoir repartir, je sens dans mes bras la direction qui tire à gauche et l’odeur d’essence se fait bien sentir. Par ailleurs, je remarque de nombreux bruits anormaux tels que des cliquetis, un moteur très bruyant (on croirait entendre un camion), et les pédales sont mal alignées entre elles ce qui rend le passage des vitesses assez laborieux pour une première fois avec ce V8. Le charme des anciennes, me dites-vous ? Bref, la conduite me demandera un peu de temps pour m’habituer mais, quand même, quelle belle sensation de se sentir au volant de sa Mustang, tant désirée jusqu’à aujourd’hui !
 
 

Décembre 2017 : Une Mustang près de Los Angeles
 
Durant mes recherches près de Los Angeles, sur Craigslist, un vendeur revient souvent. Effectivement, c’est celui qui n’avait pas voulu soulever les tapis qui étaient soit disant collés… Il est situé à North Palm Springs, à quelques miles seulement de LA. Le 2 septembre à 5:44 du matin, j’envoi un message à Arnaud pour lui montrer une voiture qui me plait vraiment, dans une couleur que j’aime également beaucoup. Il s’agit ainsi d’une Mustang code C V8, boîte mécanique TREMEC 5 vitesses. Elle est désormais propulsée par un 302ci qui a moins de 10 000 miles. Aussi, le vendeur assure une carrosserie parfaitement saine, une mécanique fraichement restaurée, aucune fuite, et tous les voyants sont fonctionnels. C’est le coup de coeur !
 
On obtient assez rapidement des photos complémentaires des dessous et tout semble effectivement bien propre. Toutefois, Arnaud me précise qu’il ne faut pas trainer. En effet, le vendeur est prêt à nous réserver la voiture moyennant un acompte. La décision ne se fait pas attendre. Après plusieurs discussions avec Pascal (plus connu sous le pseudonyme de Scal dans le monde de la Mustang), je me lance. Ça y est, je viens de m’acheter une Ford Mustang Coupé 1966.
 
ps : si vous savez comment mettre des miniatures uniquement dans le post, je suis preneur, j'ai l'impression d'alourdir la page inutilement.
 

Bonjour à tous,
 
J'ouvre ce fil pour vous raconter l'histoire de mon coupé 66 venu tout droit de Los Angeles. J'espère aussi utiliser ce topic pour inscrire les évolutions et l'entretien réalisé au fur et à mesure des saisons. Je vais m'inspirer de mon blog pour poster les articles déjà écrit et j'en profiterai pour rajouter les dernières nouvelles.
 
Je conserve ce premier post pour inscrire l'ensemble des travaux en guise de sommaire.
 
Après l'importation (01/2018)
-> Remplacement durite de DA (inutile, ne fonctionne toujours pas après coup)
-> Remplacement renvoi direction
-> Remplacement feu AR et connectique (l'un des feux ne s'allume toujours pas après la réparation)
-> Réparation fixation optique AV
-> Réglage des feux AV
-> Réglage feu de stationnement
-> Remplacement câble compteur (inutile, ne fonctionne toujours pas après coup)
-> Remplacement canalisation frein AVD
-> Remplacement flexible de frein AR (inutile, mal positionné, touche l'échappement)
-> Branchement et pose feu plaque (mal posé et endommagé)
 
Weekend 1 en Savoie (02/2018)
-> nouveau filtre à huile (Motorcraft FL-1A)
-> vidange huile de pont (Huile de pont Castrol - EP140 - 3*1L), huile moteur (MOTUL - Multigrade 2000 SAE 20W50), liquide de refroidissement
-> remplacement du démarreur (MR GASKET CO 51322ZG)
-> remplacement du solénoïde (SCOTT DRAKE B6AZ-11450-A)
-> remplacement des câbles de batterie (sur mesure DriftShop)
-> remplacement des joints de cache culbuteurs (SCOTT DRAKE C2OZ-6584-AR)
-> remplacement des 8 bougies (NGK UR5 V-Power)
-> changement du volant (Reproduction Black Steering Wheel with Horn Ring)
 
 

Février 2018 : Premier trajet… mitigé
 
Suite à l’attente insoutenable survenue ces dernières semaines, je reçois finalement un message m’indiquant que la Mustang est prête ! Nous sommes le vendredi 2 février et je conviens avec mon transitaire qu’il me l’apportera dimanche. Bien que la joie soit au rendez-vous et que je sois toujours aussi impatient, je reste dubitatif sur l’état de la voiture. En effet, je ne l’ai encore jamais conduite et, jusqu’ici, j’ai eu mon lot de surprises… Voyons dans ce nouveau billet ce que ce premier trajet nous réserve !
 
Plus tôt que prévu… si on veut
 
Pour rappel, j’ai payé la voiture le 9 septembre 2017 et cela fait un certain temps que je l’attends. Toutefois, si Arnaud et moi avions convenu d’une livraison le dimanche, nous échangeons le vendredi au sujet d’une livraison le jour-même. Si ce n’est pas finalement pas faisable, nous parvenons à tomber d’accord sur le lendemain. J’irai donc chercher la voiture, accompagné par Flavien, mon beau-frère.
Très excité, la nuit est agitée. Mais ce n’est pas pour la raison que vous imaginez ! Non, c’est ma fille de sept mois qui fait une nuit difficile…
 
C’est la panne sèche !
 
Flavien et moi-même arrivons un peu plus tôt que prévu. Nous nous rendons au lieu indiqué par Arnaud et le retrouvons. La belle est là, elle brille sous les rayons d’un soleil timide mais bien présent. Sa carrosserie, que j’avais trouvé fade jusqu’alors (à chaque fois que je l’avais vu, le temps était particulièrement ombragé), laisse apparaitre ses différentes qualités ! Je suis content de mon achat, reste à démarrer la bête…
 
C’est Arnaud qui s’y colle. La voiture est garée dans un emplacement étroit et je ne la connais pas encore. Il ne parvient toutefois pas à lancer le moteur. Et pour cause : il en reste pas une goutte d’essence… C’est ennuyeux. Nous voilà, Flavien et moi, partis un jerricane à la main, chercher une dizaine de litres d’essence à la station d’à côté. Par chance, elle se trouve à une petite centaine de mètres de la voiture.
 
L’essence injectée dans la belle, elle refuse toujours de démarrer. Cette fois-ci, elle cale. Tant qu’elle n’est pas chaude, il faut insister un peu. Bon… Finalement, un clac se fait entendre lorsque l’on tourne la clé. OK, ce sont les charbons du démarreur qui sont collés. Nous voilà maintenant à taper dessus pour les décoller.
 
C’est parti !!
 
C’est finalement une bonne heure et demi après être arrivé que je me place enfin derrière le volant. La direction assistée n’est pas si assistée et mon premier virage est catastrophique. J’ai l’impression que l’angle de la direction est bien plus étroit que sur une auto plus récente. Bref, nous retournons chercher de l’essence et, après de difficiles manoeuvres sur le parking du centre commerciale adjacent à la station, nous voilà enfin sur les routes.
 
Je tiens mes distances avec la Renault Mégane de Flavien. Je suis inquiet de caler et de ne pas pouvoir repartir, je sens dans mes bras la direction qui tire à gauche et l’odeur d’essence se fait bien sentir. Par ailleurs, je remarque de nombreux bruits anormaux tels que des cliquetis, un moteur très bruyant (on croirait entendre un camion), et les pédales sont mal alignées entre elles ce qui rend le passage des vitesses assez laborieux pour une première fois avec ce V8. Le charme des anciennes, me dites-vous ? Bref, la conduite me demandera un peu de temps pour m’habituer mais, quand même, quelle belle sensation de se sentir au volant de sa Mustang, tant désirée jusqu’à aujourd’hui !
 
 

Vous êtes des vilains. Pour une fois que quelqu'un essaie de faire une annonce un peu plus sympa que:
 
" Particulier vend Ford Thunderbird
très bon état général, polish tous les vendredis matin, vidange trimestrielle,  
réparations récentes avec factures à l'appui, il n'en manque pas une seule
curieux s'abstenir, on est pas à Luna Park
Africains s'abstenir, je ne fais pas Western Union
Acheteurs non sérieux et désargentés s'abstenir
Tapettes et artistes s'abstenir
Prix non négociable, paiement par chèque de banque uniquement les jours de semaine avec transaction devant la banque
Ne pas appeler en dehors des créneaux suivants: du lundi au vendredi de 10-12h et de 14h à 16h
Je ne réponds pas aux mails, n'envoie pas de photos par mails, bref, je ne fais rien.
En fait abstenez vous tous. "
 
Vous savez, le genre ancien légionnaire alsacien (de mère vosgienne ) qui a foutu le feu à son bonsaï parce qu'il le trouvait trop indiscipliné. 
 
Et il y a aussi:
Je van une Ford come la photoe, elle ait come neve, pinture réssente, demaror nef, elle démar au car de tour, jamai de probleme, les gante et le pneu sont en bonne état, interior en scaille, je m'en séparent pour rèson famillialles, 
elles apartenaient  a mon grand père qui l'utilisaient pour tracter la remorque de son manège,
La voiture a fais la couverture du disque des gipsy kings 
il ait déssédée réssament, alors nous nous an séparont.
 
Bref.  
 
 
 
 

Hello tout le monde ! Alors j'ai plus l'habitude de poster dans la rubrique années '50, mais il s'avère que pour les cinq mois qui suivent, j'ai une nouvelle copine !
Je cherchais une auto pas trop chère et la plus fiable possible pour mon séjour en Californie, et on m'a conseillé la Crown : Quitte à acheter une voiture pour quelques mois aux USA, autant prendre une américaine que je n'aurai peut-être pas l'occasion de conduire à nouveau en France !
Donc après quelques miles parcourus et quelques voitures de vues (pas mal de merguez, japonaises et ricaines comprises), j'achète enfin ma nouvelle compagne de route C'est une Police Interceptor de 2005 avec quand même 135 000 miles au compteur (pour 3000$ c'est tout ce que j'ai pu trouver) mais qui tourne plutôt bien, pas de surchauffe, pas de fuites moteur ni boîte (je vérifie régulièrement), huile propre, le pont qui chante un peu, mais elle a quand même la patate ^^ (Je crois que le police pack inclut une puissance d'environ 280 hp), la peinture n'est pas superbement bien appliquée mais ça va, elle présente bien

Alors une semaine après l'avoir achetée, j'ai commencé à flipper car le voyant moteur s'est allumé, dans les montées il clignotait, la voiture avait moins de pêche et broutillait un peu... Oulala, grosse frayeur en rentrant chez moi... Dès le lendemain j'en ai parlé à mon patron, qui m'a gentiment donné un coup de main grâce à l'un de ses employés Ils avaient le scanner pour le code d'erreur et il s'avérait que c'était un souci d'allumage comme je le soupçonnais... Changement de bougies (surtout une qui était bien fatiguée), et hop, ça repart, en mieux qu'avant !
 
Actuellement elle encaisse bien les bornes que je lui mets dans la figure, elle est plutôt confortable sans avoir les suspensions trop molles et surtout... Je peux la garer n'importe où tellement tout est grand ici
 
Petite ombre au tableau cependant, je soupçonne une fuite de pont car lorsque je regarde sous l'auto, je vois qu'il n'est pas totalement sec... Peut-être est-ce pour ça qu'il chante ? Ou du moins l'une des raisons ^^ Du coup on va faire une vidange au plus vite, ça lui fera le plus grand bien !

Voilà quelques photos de la bête :
 

 
Devant le shop de mon boulot, elle s'est trouvé deux jolies copines Chevy



 

 
Petite mésaventure au moment de partir du car show de Gene Winfield... J'avais oublié les clés sur le contact et fermé la voiture manuellement ! (Oui je n'ai pas de clé à distance, donc faut que j'appuie sur le bouton), heureusement j'étais au bon endroit et j'ai demandé un coup de main, en 5 minutes la voiture était rouverte, de vrais cambrioleurs haha
 

Bonsoir a tous ,
 
Voila la remplaçante de ma versailles que j'aurai aimé gardé mais bon.....
 
c'est un l6 de 170ci que j'ai acheté en charente , fabriqué a san josé en californie
 
en juillet 1964 ,acheté par un anglais en 2008 qui s'est installé en France quelques
 
année après .
 
depuis 3 mois j'ai bossé un peu dessus
vidange de tout les fluides.
spie d'arbre de roues .
vidange liquide freins et réglage.
réparation siège conducteur ( tube cassé).
cable de freins a main
.
Mais bon rien de grave ,et il en reste encore des choses a faire et c'est pourquoi
ont aime les anciennes .