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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 19/02/2025 dans Messages

  1. CAN-AM

    Choix type de sableuse

    Désolé mais tu ne prends pas le problème dans le bon sens. Le sablage c'est d'abord le débit d'air. Si tu n'as pas de débit suffisant, ce n'est même pas la peine de commencer. Plus tu auras une buse de gros diamètre et plus tu devras augmenter ton débit d'air. Pour sabler en petite cabine d'atelier, j'ai couplé 2 compresseurs de 100 litres. Pour l'utilisation des buses de 3 à 4 mm de diamètre. En extérieur j'utilise que des compresseurs de chantier pour le sablage, et un compresseur de 100 litres pour l'apport d'air dans le casque. (100 litres parce que je n'ai que ça sous la main, il pourrait être plus petit). Les buses font 6 mm de diamètre et je les change quand elles arrivent à 8 mm. Car sur de grande surface il est important de pouvoir décaper sans trop s'approcher de la pièce. Cela permet de travailler plus rapidement et de ne pas défoncer les panneaux de tôle. De plus 8 mm consomme énormément d'air. Pour cette caisse, intérieur et extérieur + phosphatage c'est 2 jours de travail à plein temps. Ton problème d'arrêt de sablage peut être résolu par l'utilisation d'une sableuse équipée de commandes pneumatiques. Cela facilite le travail et tu peux sabler seul. Les anciennes sableuses de chantier étaient équipées de vannes qu'il fallait régulièrement manoeuvrer pendant l'utilisation afin de régler le débit de sable en fonction de l'humidité de l'air ambiant. Donc ça s'était le taf de la deuxième personne, sinon cela devenait vite galère au point de remplir le tuyau de sable. Et de passer plus de temps a régler la machine qu'a sabler. Il y a plus de trente ans ont avait pas le choix !!! Plus récemment, pour avoir du matos plus légers et facile d'emploi . Il m'est arrivé de louer le matériel de chantier complet , (casque, buses, compresseur, sableuse). Afin de travailler de 8 heures à 18 heures non stop. Pour moins de 300 euros, avec en plus le sable et un plein de gasoil pour le compresseur. C'est vraiment un journée marathon, dur physiquement (chaleur dans le casque) ... Mais cela est largement amorti par la qualité du travail et la quantité de pièces ou surfaces réalisées qui ne sont plus à faire.
    3 points
  2. Jean-Hugues

    Ma Crevette

    Bonjour, Je vous présente ma C3. C'est une 72 454 avec boîte d'origine mécanique. J'ai remplacé le 454 par un 502 GM Performance que j'ai préparé. La suspension est la même que celles qui font du circuit, ce qui fait quel tien bien et elle a un comportement sain. Je l'adore😀
    2 points
  3. Depuis quelques jours, je prends plaisir à lire les récits de voyages aux États-Unis partagés par les membres du forum. Chacun d’eux apporte un regard unique sur ce vaste pays, et je me suis dit qu’il était temps d’apporter ma pierre à l’édifice. À ce jour, j’ai eu la chance d’y mettre les pieds à quatre reprises et, sans surprise, je compte bien récidiver d’ici trois ou quatre ans au maximum ! Ce premier voyage aux États-Unis, je l’ai réalisé avec Dorian, un ami proche de longue date. Pourtant, à l’origine, notre itinéraire était avant tout centré sur le Canada, avec un parcours qui nous a mené de Montréal à Québec, puis de Toronto aux chutes du Niagara. Mais en préparant ce périple, une idée nous trottait dans la tête : nous allions nous retrouver à seulement quelques minutes des États-Unis… sans y passer ? Avant de partir, j’avais pris le temps de noter mes attentes pour ce voyage, et voici ce que j’écrivais à propos des USA et plus particulièrement de la ville de Buffalo où nous avons finalement vécu nos premiers moments états-uniens : C’est ainsi que, fin juillet 2013, après plus de dix jours passés à explorer le Canada, nous avons franchi la frontière pour un séjour express de deux jours aux États-Unis. Une parenthèse courte, mais marquante, qui reste un excellent souvenir. Dans les prochains messages, je vous raconterai en détail cette première expérience américaine, de l’entrée aux États-Unis à notre visite de Buffalo, avant de conclure sur mon ressenti global. En attendant, je vous mets quelques photos prises au Canada qui montrent, notamment, des voitures bien américaines que l'on n'avait pas forcément l'habitude de voir en France. Montréal : Un des premiers lieux visités outre-Atlantique Le Financial District, au fond, mêlant bâtiments récents et plus anciens dans une architecte tout à fait singulière La Tour de l'Horloge et le pont Jacques Cartier en arrière plan La célèbre brasserie Molson à Montréal, prise depuis le parc Jean Drapeau Une photo de bien mauvaise qualité mais que j'aime beaucoup Molson, encore une fois Québec : Quand j'ai vu cette voiture, je crois me souvenir avoir dit : un jour, j'aurais une Mustang ! (je ne me doutais pas encore que je pencherais finalement pour une ancienne...) Impossible de quitter Québec sans gouter une poutine de chez Ashton ! Toronto : On se croirait à New York, non ? Les bus nord américains n'ont rien à voir avec les européens ! Encore une photo que j'aime beaucoup, malgré sa qualité... discutable Un hot dog dans les rues de Toronto, acheté pour 2 dollars (je n'étais pas encore végétarien à l'époque :)) Dans les rues de Toronto... Dans les rues de Toronto... (suite) En Europe, on aurait mis un rond point pour un carrefour comme celui-ci. Pourtant, ça fonctionne si bien quand les règles sont respectées (bon, ici on a la chance d'avoir des feux tricolores) Niagara Falls : Une très belle Dodge Charger, plutôt commune au Canada (la police montréalaise patrouille avec)
    1 point
  4. CAN-AM

    Pontiac Bonneville Coupé Sport 1959

    Je peux enfin reprendre le chantier et finir cette boite de vitesse. Je vais donc commencer par la réfection du tambour arrière. C'est aussi le plus gros sous ensemble. Le plus important travail consiste à laver toutes les pièces, les inspecter et les mesurer quand cela est nécessaire. Ici je cherche parmi les deux boites, quel sera l 'ensemble qui possède le moins de jeu et d'usure. Après déglaçage des portées, choisir le bon calibrage de cale d'épaisseur. Remplacement de la bague de palier et remplacement de la cale d'épaisseur suivant la tolérance constructeur. Après un dernier nettoyage, toutes les pièces de ce premier ensemble sont prêtes pour le remontage. Pour info, les pièces sont lavées plusieurs fois au diluant de nettoyage peinture et soufflets à l'air comprimé. Au fond des bacs de nettoyage, je pose des aimants afin de capturer les limailles d'acier. C'est impressionnant de voir la quantité que l'on peut attraper. Cela ressemble à une poudre de couleur noire. Les disques neufs font partie des pièces faciles à trouver. Les cales et roulements sont beaucoup plus compliqués à obtenir.Donc je réutilise parfois des cales d’occasions après les avoir mesuré. Belle pièce mécanique, premier train épicycloïdal à retrouver sa place. Et enfin le remontage peut commencer, après graissage des surfaces de contact. Cette graisse évite les grippages lors de la première remise en route, et elle est prévu pour se dissoudre dans l'huile de boite. Réassemblage du tambour arrière. Les disques fibres et métal sont trempés dans l'huile avant d'être posées. Et puis ont continu l'empilement de pièce... Protection contre la poussière, le temps de réassemblé le second étage de disques et son piston.
    1 point
  5. C'est la façon la plus économique qui soit, pour un culbuteur. Cela a été inventé par un ingénieur de chez Pontiac, chez lui à ses frais. Puis spolié par Chevrolet pour réduire les couts de production, puis généralisé sur la plupart des GM. Un simple bout de tôle emboutie et une demi sphère. Faute avouée, faute ....
    1 point
  6. J'ai fait un (rapide) remontage CAO sur les liaisons du poussoir jusqu'à la soupape. Sur la première vidéo, j'actionne le culbuteur selon un axe de rotation en lui donnant qu'un degré de liberté, comme s'il était monté sur un pivot et non une rotule. Sur la deuxième vidéo, j’actionne le poussoir et on voit direct que si la tige n'est pas guidée, elle part où elle veut et le culbuteur se met à tourner. VID_20250219_103958.mp4 VID_20250219_103904.mp4 ça n'empêche pas que ton problème a certainement une cause comme pas exemple un poussoir défectueux ou autre
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  7. Merci Sébastien 👍. La photo du Shea's Buffalo m'a aussi tout de suite fait pensé à Chicago :). Et voici la suite : Deuxième journée à Buffalo : entre détente et découvertes Après une bonne nuit, je me réveille à 6h50. Le soleil est déjà levé, et ses rayons filtrent à travers les rideaux blancs de ma grande fenêtre. L’ambiance est paisible, parfaite pour commencer la journée en douceur. Vers 8h, nous descendons prendre le petit-déjeuner, et nous ne sommes pas déçus. C’est un véritable buffet, avec de quoi satisfaire tous les goûts : des saucisses, des bagels, des céréales américaines ultra colorées, des fruits secs… Je me prépare une assiette bien garnie : une omelette, un verre de cranberry juice cocktail, un bagel au beurre de cacahuète, et un bol de Froot Loops. Ces céréales multicolores sont à la fois trop sèches et beaucoup trop sucrées, mais ça fait partie de l’expérience américaine. Le tout passe bien avec un café bold, comme j’aime. Encore une Dodge Charger ! En attendant le bus, on observe les voitures passer... Plutôt rare comme panneau aux USA à l'époque, non ? Virée shopping et fausse bonne affaire Buffalo n’est pas la ville la plus animée des États-Unis, mais elle a un avantage : les prix des vêtements et des articles de marque y sont bien plus bas qu’en Europe. Un centre commercial se trouve à une quarantaine de minutes de l’hôtel. Nous décidons d’y aller ce matin. Avant de partir, je demande quelques indications à la réception. L’homme en poste a lui aussi du mal avec mon accent, mais j’arrive à me faire comprendre. Il m’indique même un raccourci que Google Maps ignore. Résultat, nous atteignons le centre commercial en seulement 30 minutes. Sur place, je profite de l’occasion pour faire quelques achats. En passant devant un Apple Store, je m’arrête net. L’iPhone 5 (lol) est en vitrine, et son prix m’interpelle : 299 dollars seulement ! L’affaire me semble trop belle pour être vraie. Tout excité, je demande à Dorian de vérifier les détails. En regardant de plus près, on comprend rapidement que ce prix est réservé aux abonnements avec contrat. Tant pis, c’était trop beau ! Pause déjeuner légère et détour imprévu En rentrant à l’hôtel, nous n’avons pas vraiment faim. Plutôt que de prendre un gros repas, nous décidons de commander une Bistro Box, un plateau léger avec du fromage et des fruits. Direction Starbucks, mais la serveuse nous informe qu’ils n’en vendent pas ici. Les Américains n’aimeraient-ils pas les fruits ? Finalement, nous optons pour des mini-sandwiches au bacon et aux œufs. C’est simple, efficace et pas trop cher. En retournant à l’hôtel, je réalise soudain que j’ai oublié ma sacoche au Starbucks. Mon iPad et mon appareil photo sont à l’intérieur ! Demi-tour immédiat. Heureusement, tout est encore là. Ouf ! Sur le chemin du retour, nous croisons la serveuse du T.G.I. Friday’s de la veille. Un rapide échange de "Hi!", et nous continuons notre route. Découverte du Coca-Cola Field Vers 16h, je décide d’explorer un peu plus Buffalo et me dirige vers le Coca-Cola Field, le stade de baseball de la ville. Après deux kilomètres de marche, j’aperçois enfin le logo de Coca-Cola et découvre l’enceinte du stade de l’extérieur. Devant, une statue intrigante représente un homme en costume en pleine action de jeu. Je fais le tour du stade, mais toutes les portes sont cadenassées, et la boutique officielle a fermé à 15h. Un peu déçu, je m’apprête à repartir, quand j’aperçois un grand bâtiment moderne non loin de là. Il est beau ce stade ! Il arbore un célèbre logo qui évoque immédiatement les USA dans tous les pays du monde... Malheureusement, c'est fermé, je n'irais pas plus loin J'ai de la chance, le temps est magnifique ! Fermé, dommage j'aurais bien acheté un ticket pour aller voir un match... Encore le célèbre logo ! Un peu de lecture Hommage Exploration du First Niagara Center Le First Niagara Center, que je prends d’abord pour un centre commercial ou un complexe de cinémas, m’intrigue. Il n’y a personne aux alentours, mais les portes sont ouvertes. J’entre. À l’intérieur, plusieurs vitrines exposent des objets des Buffalo Bisons (baseball), des Buffalo Sabres (hockey sur glace) et des Buffalo Bandits (crosse). Je me dirige vers une grande boutique, où une vendeuse est en train de nettoyer les vitres. Curieux, je lui demande qui sont les Sabres. Elle m’explique gentiment qu’il s’agit de l’équipe de hockey locale… avant d’ajouter que le magasin est fermé. Oups ! Je m’excuse immédiatement, ce à quoi elle répond avec un sourire : "Don’t worry!". Je ressors en riant intérieurement. Buffalo est décidément une ville calme… voire trop calme. À 15h un vendredi, tout semble déjà éteint ! Dernier dîner aux États-Unis Aux alentours de 19h, nous retournons au T.G.I. Friday’s, où nous avons mangé la veille. La même serveuse, toujours souriante, s’occupe de nous et se souvient même de la cuisson de ma viande d’hier. Je suis impressionné. Je commande un "Steakhouse Bleu Cheese Burger", garni d’oignons fumés, bacon, fromage bleu et beurre maison, accompagné d’une bière Sam Adams "seasonal". L’association des saveurs est juste parfaite. En dessert, je craque pour le "Brownie Obsession" : un brownie chaud nappé de chocolat fondu, de caramel et de noix de pécan, surmonté d’une boule de glace à la vanille. Après deux bouchées, je suis déjà rassasié, mais impossible de m’arrêter. Je le finis jusqu’à la dernière miette. Voici mon Steakhouse Bleu Cheese Burger Et un dessert tout aussi généreux, le Brownie Obsession ! Fin de l’escapade aux USA C’est déjà notre dernière soirée aux États-Unis. Buffalo a été une expérience intéressante, même si la ville manque clairement d’animation. La prochaine fois, je choisirai une ville un peu plus dynamique… mais je reviendrai ! Mon prochain et (déjà) dernier post s’intéressera au retour vers le Canada et à un petit bilan sur cette première fois aux USA !
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  8. Merci TLK ;). Aller, la suite... Cap sur Buffalo : premier passage de la frontière américaine Le jour du départ pour Buffalo, nous devons libérer notre chambre à Toronto avant 11h. À 11h15, valises prêtes, nous quittons l’hôtel et faisons un détour par le Starbucks à côté de la gare, un endroit où nous avons déjà passé du temps à notre arrivée. Un panini et un café plus tard, nous patientons jusqu’à 14h avant de rejoindre la gare routière. Notre bus pour Buffalo part finalement vers 14h45. Dès le début du trajet, le chauffeur nous distribue un formulaire vert à remplir pour la douane américaine, car nous n’avons pas de visa. Le trajet s’annonce long, et Toronto semble vouloir nous garder un peu plus longtemps : embouteillages, ralentissements, un accident sur la voie opposée… Jusqu’au bout, la ville nous offre son lot d’imprévus. À l’approche de la frontière, un léger stress monte. Dorian a lu des témoignages peu engageants sur les contrôles douaniers (qu'il a bien sûr eu la bonne idée de me partager...) : fouilles complètes des bagages, passagers forcés de descendre du bus, ambiance froide… Mais la réalité est bien différente. Ouf ! Le bus s’arrête, les valises sont sorties, et nous sommes invités à descendre un par un pour passer le contrôle. Un officier nous demande nos passeports et prend nos empreintes digitales. L’ambiance est étonnamment détendue : il plaisante même avec nous sur son niveau de français, et je me surprends à répondre spontanément "Oh yes ?!". Il rit en racontant à son collègue que j’approuve son manque de compétence linguistique. Ça détend tout de suite l’atmosphère. Après quelques questions sur notre séjour, nous payons les six dollars requis, puis nos valises sont scannées et reniflées par un chien. Le verdict tombe : nous pouvons entrer aux États-Unis ! 🤩 Nous remontons dans le bus avec un mélange de soulagement et d’excitation : ça y est, je suis enfin sur le sol américain. Premiers pas aux États-Unis : découverte de Buffalo Le bus nous dépose au "Buffalo Terminal", un nom qui sonne grandiose mais qui, en réalité, désigne un simple arrêt de bus. Le contraste avec Toronto est frappant : moins de gratte-ciels, une ambiance plus calme et, surtout, une architecture bien différente. À peine sortis, sur le chemin de notre hôtel situé à 800 mètres de là, je croise une sublime Mustang noire garée dans la rue. La voiture parfaite. Cet instant suffit à me convaincre : Buffalo va me plaire ! 👍 L’hôtel, lui, est une belle surprise. Notre chambre ? Une véritable suite. En franchissant la porte, nous découvrons un mini-bar avec micro-ondes, un canapé dépliable accompagné d’une table, et un grand téléviseur LCD de 107 cm avec lecteur DVD. Plus loin, un fauteuil et un bureau font face à une grande fenêtre donnant sur la ville. Et ce n’est que la première pièce. À droite, une porte mène à une salle de bain équipée d’une baignoire, et derrière elle, la chambre principale. Un immense lit moelleux, une commode avec téléviseur, une autre entrée vers la salle de bain… Luxe absolu. Dorian, qui vante cette “King Suite” depuis des jours, me demande s’il peut avoir la chambre principale. Dans un rare élan de générosité, j’accepte et me contente du salon. En acceptant, j'ai fait sa soirée, c'est certain ! Un bâtiment qui semble important, en tout cas intéressant en matière d'architecture, mais je ne me souviens pas de son nom ou de son utilité Shea's Buffalo, sur Main Street, une rue où tramways et voitures co existent (en travaux sur ma photo) Premiers instants à Buffalo : balade et premier repas Une fois installés, il est temps de découvrir Buffalo. Premier objectif : retirer des dollars US. Dans les rues, de nombreux pubs, quelques Subway, Starbucks et même des Tim Hortons (chaîne que nous avons découvert au Canada quelques jours plus tôt), mais nous avons envie de quelque chose de plus... authentique ! Notre choix se porte sur le restaurant en bas de l’hôtel : TGI Friday’s. La carte est alléchante, et je me laisse tenter par une bière blanche du Colorado, la Blue Moon Belgian White, suivie d’un Spicy Craft Beer-Cheese Burger. Le mélange de sauce au fromage à la bière, de jalapeños frais et panés, de mayonnaise chipotle et de guacamole est une véritable claque gustative. Le meilleur burger que j’ai jamais mangé (en 2013, tout du moins) ! Le dessert achève de me conquérir : un Tennessee Whiskey Cake, un gâteau chaud aux noix de pécan accompagné de glace vanille et nappé d’une sauce au Jack Daniel’s. Une merveille. Cerise sur le gâteau (si j'ose dire), notre serveuse est adorable. Nous discutons un peu avec elle, même si mon accent semble la faire sourire. Retour à l’hôtel, rassasié et fatigué par cette longue journée. En zappant sur la grande télé, je tombe sur Hell’s Kitchen (Cauchemar en cuisine) avec Gordon Ramsay. Après un bon repas américain, quoi de mieux qu’un show culinaire pour boucler la soirée ? Le TGI Friday, une découverte intéressante pour moi (la prochaine fois que j'en verrais un, ce sera à... Budapest !) Une Blue Moon bien fraiche servie avec un verre... glacé ! Et ce dessert ! Qu'est-ce que j'aimerais le goûter à nouveau ! Buffalo, une ville au riche passé Buffalo a longtemps été une ville industrielle avant de se reconvertir en centre culturel et universitaire. Ford y est toujours présenté, témoin de cette histoire automobile qui nous fascine. Mais surtout, la ville a été la première des États-Unis à utiliser l’énergie hydraulique à grande échelle, grâce aux chutes du Niagara. Une première journée réussie, placée sous le signe de la découverte et de la gourmandise. Demain, il sera temps d’explorer Buffalo plus en profondeur. Pas de belles américaines sur les photos du jour, on rattrapera le coup dans le prochain post ;).
    1 point
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